Ministère de l’Intérieur 291

Tunisie : fin de période de grâce pour Essebsi

On dit de M. Rajhi qu’il a su faire montre de courage et de détermination en purgeant une partie du système sécuritaire Benalien malgré les menaces et les hostilités auxquelles il a dû faire face. Il vient pourtant d’être démis de ses fonctions par le premier ministre pour présider le « Comité Supérieur des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales ». Une belle planque ou un lot de consolation pour un ministre populaire qui a su apaiser les esprits…pour un bref moment du moins.

Limogeage de Farhat Rajhi, à quand l’exposé des motifs ?

Farhat Rajhi, victime ou looser ? On ne le saura certainement pas de sitôt sous la nouvelle « Béjicrature ».