أثارت زيارات رسمية الى ولاية جندوبة قامت بها، مؤخرا، بعض الشخصيات الرسمية، تونسية و أجنبية، غضب مراسلي وسائل إعلام وطنية و السبب التكتم عن الخبر من قبل السلطات الجهوية فكانت النتيجة عدم قدرة المراسلين المحتجين من تغطية هذه الزيارات إعلاميا و هو ما اعتبروه اقصاء لهم و انتهاك لحرية ممارسة العمل الصحفي.
Déterrement d’un projet de loi liberticide en vue d’abroger le décret-loi 115
Mme Souad Abderrahim, membre de l’ANC élue en octobre 2011 sous la bannière du mouvement islamiste Ennahdha, a annoncé, mercredi lors d’une conférence organisée à Tunis par l’Institut Arabe des Droits de l’Homme (IADH), le Conseil de l’Europe et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), sur les “Garanties normatives et institutionnelles de la liberté d’expression” […]
Média : Pourquoi faut-il garantir la liberté de la presse ?
Mercredi 13 mars, jour anniversaire de la mort de Zouhair Yahyaoui, cyberdissident tunisien, l’association Vigilance organisée une conférence sur la liberté de la presse au sein de l’université de la Manouba. Que gagne-t-on en garantissant la liberté de la presse ? Réponses de Om Zied, Hamida El Bour et Kamel Labidi.
Des journalistes interdits d’entrer à la conférence de presse du ministère de l’Intérieur
Le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse (CTLP) a publié un communiqué pour déplorer l’interdiction du Ministère de l’Intérieur à des journalistes pour couvrir la conférence de presse au sujet de l’assassinat de Chokri Belaïd.
Tunisie : Multiplication des procès contre les journalistes
Deux ans après la révolution, la presse, que l’on présente comme le quatrième pouvoir indispensable à la jeune démocratie tunisienne, est-elle vraiment libre ? Les procédures contre plusieurs de nos confrères journalistes ne plaident pas pour une réponse positive et n’augurent pas de lendemains dorés pour la profession.
Quand la liberté d’expression se confond avec ….arrogance et diffamation
Je souhaiterai revenir sur l’élan de solidarité qu’a déclenché l’annonce de la condamnation de M. Nizar Bahloul, directeur du journal électronique Business news à quatre mois de prison ferme en rapport avec l’affaire de l’ancien ambassadeur de Tunisie à Abu Dhabi et apporter les éclaircissements qui s’imposent en ce cas de figure
Télévision et radio de service public : des pistes pour une réforme
Les rumeurs ont couru : la télévision nationale ne restera pas publique. Info ou intox ? Certains disent qu’elle ne sert à rien, de toute façon, que les journalistes ne font pas leur travail. Mais plutôt que de penser à s’en débarrasser pourquoi ne pas travailler à améliorer la situation ? Dans son étude sur le développement des médias en Tunisie, l’UNESCO propose quelques pistes.
Violences à l’égard des journalistes : le rapport du CTLP
Le SNJT et RSF s’occupaient déjà de recenser les actes de violence et les agressions à l’égard des journalistes. Le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse (CTLP) s’y met aussi, espérant ainsi que le fait de multiplier les voix permettra de faire baisser ce type d’acte.
Médias : les décrets-lois 115 et 116 seront-ils appliqués un jour ?
Si la Tunisie était dotée d’une instance de régulation des médias l’affaire de l’interview de Slim Chiboub aurait pu se passer autrement, c’est en tout cas ce qu’explique le SNJT. Encore une fois le vide juridique du fait de la non mise en œuvre des décrets-lois 115 et 116 pose problème. Reste que ce vide ne devrait pas perdurer.
Média : Mohamed Rammeh citoyen-journaliste
A Kairouan Mohamed Rammeh, jeune étudiant, a crée une web radio il y a trois ans déjà. Ce jeune DJ ne pensait pas un jour devenir citoyen-journaliste. A sa manière il oeuvre à créer une information plus juste en Tunisie.
Un an dans les médias : Une année difficile
Après une année difficile les journalistes ont l’air d’avoir enfin réussi à s’unifier. Le combat se tourne de plus en plus vers la liberté de la presse. Une liberté qui ne pourra être assurée que lorsque les médias seront indépendants et ce principe a l’air d’avoir été intégré par tous les professionnels du secteur
Dar Assabah : La démission de Lotfi Touati
A peine plus de deux mois aprés sa nomination au poste de DG de Dar Assabah, Lotfi Touati s’en va. Le sit-in et les grèves de la faim des journalsites leurs auront permis d’avoir gain de cause. A travers l’affaire de Dar Assabah c’est tous les médias tunisiens qui reprennent espoir : car une première bataille en faveur de la liberté de la presse vient d’être remportée.
Rapport d’Amnesty International : « Un pas en avant, deux pas en arrière ? »
Le dernier rapport d’Amnesty International est lui aussi démoralisant. « Un pas en avant, deux pas en arrière ? » Le titre interrogateur est facilement transposable à l’affirmative : utilisation excessive de la force, torture et mauvais traitement, peine de mort maintenue ou encore liberté de la presse malmenée…
Tunisie : RSF demande au gouvernement des éclaircissements sur les décrets-lois 115 et 116
La situation des médias est donc toujours en suspend. Reporters Sans Frontières vient de publier un communiqué qui salue l’annonce de l’application des décrets-lois, tout en demandant des éclaircissements.
Le quotidien La Presse : Querelles internes par communiqués interposés
L’édito de La Presse d’aujourd’hui, vendredi 19 octobre, est-il à prendre au deuxième degré ? L’auteur y parle de « l’effort commun » des journalistes lors de la grève générale du 17 octobre et du fait que la grève a été massivement suivie. Pourtant sa publication a brisée la grève en publiant un numéro quasi complet…
Médias : Application du décret-loi 116. Enfin!
Le gouvernement a fini de tourner en rond en ce qui concerne les médias ou en tout cas semble enfin faire un pas en avant. Après avoir baladé les décrets-lois 115 et 116 de consultations nationales en commission parlementaire il a enfin décidé d’activer le décret-loi 116. Il était temps.
RSF : Un an en Tunisie. La vigilance est toujours de mise.
Il y a un an Reporters Sans Frontières ouvrait, enfin, un bureau à Tunis. Christophe Deloire, directeur général de RSF et Soazig Dollet, responsable du bureau Maghreb et Moyen-Orient étaient à Tunis pour parler de la situation des médias dans le pays. Pour eux le constat est clair : il faut rester vigilant.
Iqbal Gharbi et Elyés Gharbi, premières victimes de la main mise du gouvernement sur les médias
En septembre 2011 trois administrateurs représentants l’Etat sont nommés à la tête de trois médias confisqués par l’Etat. Kamel Samari à la tête de Dar Assabah confisqué à Sakhr Materi, Iqbal Gharbi à la tête de radio Zitouna, média lui aussi confisqué à Sakhr Materi et Elyés Gharbi à la tête de Shems FM, confisqué