FIDH 10

Des ONG dénoncent les violences et demandent la protection du droit au rassemblement pacifique

Dans un communiqué de presse daté du 13 décembre, La FIDH, la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme (LTDH), le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), le Réseau euro-méditerranéen pour les droits de l’Homme (REMDH) et l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) ont exprimé leur vive inquiétude de la « recrudescence d’actes de violence perpétrés dans le cadre de manifestations en Tunisie » et saluent la volonté de l’UGTT de maintenir le dialogue après l’annulation de la grève générale prévue le 13 décembre.

“… Faire noter et exprimer au gouvernement nos préoccupations sur la situation des droits de l’homme [en Tunisie]”

Sidiki Kaba : Le rapport [ndlr : de la FIDH] met en lumière les nombreuses pratiques de détention arbitraire, les agressions physiques et le harcèlement judiciaire des défenseurs des droits de l’homme et leurs organisations, la répression systématique des libertés d’expression et d’association, la censure et le contrôle de l’internet. […].