Deuxième volet de notre article sur les oiseaux des forêts du nord-ouest de la Tunisie. En espérant susciter des vocations d’observateur ornithologique. Histoire de partager une passion qui ne devrait pas rester le privilège d’une infime minorité.
Tunisie : A la découverte des oiseaux de la Kroumirie (1/2)
Les forêts du nord-ouest de la Tunisie abritent de nombreuses espèces d’oiseaux. Dans cet article sur deux volets, nous présentons quelques espèces spécifiques à cette région, et d’autres, peu connues dans notre pays.
Changement climatique en Tunisie : Pour une agriculture adaptée (3)
La Tunisie connait un stress hydrique permanent. Le défi de l’agriculture est de nourrir la population. Or les cultures pluviales ne seront plus possibles dans les régions frappées par la sécheresse et la hausse des températures.
Changement climatique en Tunisie : Pour l’adaptation de l’environnement humain (1)
Dans cette série d’articles, nous traitons des différentes formes d’adaptation de l’environnement humain, des écosystèmes naturels et de l’agriculture, à même de faciliter la vie dans des conditions climatiques stressantes. Ce premier volet se penchera sur les solutions susceptibles d’être adoptées en milieu urbain et rural.
Zones humides en Tunisie : Le prix exorbitant de la pollution
Les zones humides constituent un important réservoir de biodiversité. Or elles subissent en Tunisie des agressions aux conséquences incalculables. La faune et la flore sont menacées. Et le coût humain risque d’être exorbitant.
Des exotiques invasives à éliminer !
Des plantes exotiques se reproduisent en Tunisie en dehors de tout contrôle et envahissent des espaces naturels. Dans ce contexte, le contrôle de l’importation des plantes d’ornement s’avère d’une urgente nécessité.
Pollution à Gabès : Des pêcheurs contraints à fuir vers l’Italie
Les rejets toxiques du groupe chimique de Gabès ont contaminé les eaux côtières, entraînant une diminution drastique des ressources marines. Certains pêcheurs de la région ont choisi de risquer leur vie en empruntant leurs petits bateaux pour tenter de rejoindre l’Italie.
A Sidi Amor : Bâtir autrement en temps de crise climatique
Des gens se démènent sur les hauteurs de Sidi Amor, du côté de l’Ariana, pour expérimenter l’avenir écologique de nos habitats à l’ère du dérèglement climatique. Alors que le bâtiment est le deuxième secteur le plus polluant en Tunisie. Reportage.
Problèmes d’environnement en Tunisie : Solutions possibles ?
Alors que des filières entières ont été développées au niveau international, la Tunisie n’a pas évolué en matière de recyclage des déchets, et d’environnement en général. Or en ces temps de stress hydrique, nous risquons de payer cette inertie au prix fort.
Tunisie : Ces animaux qui disparaissent (II)
De grands et petits Mammifères se raréfient en Tunisie. Laxisme des autorités, braconnage, destruction de leurs habitats naturels, superstition, contribuent à la raréfaction des espèces animales dans notre pays. Une prise de conscience est nécessaire pour tenter d’inverser la tendance.
Tunisie : Ces animaux qui disparaissent (I)
Une crise globale de la biodiversité perdure depuis des années. Et les ressources vivantes de la Tunisie sont aussi touchées. Cet article se penchera sur des cas d’espèces animales en voie de raréfaction sous nos cieux, en tentant d’explorer les causes du phénomène.
Clean-up month : la protection de l’environnement déléguée aux habitants
« C’est un signe de défaillance du ministère. La ministre se déplace avec ses cadres et se réunit avec les gouverneurs sans faire participer les communes. Tout cela pour avoir, au final, dix personnes qui ramassent du plastique », ironise le président de la Fédération Nationale des Communes Tunisiennes (FNCT). « L’initiative vise à ancrer la culture environnementale. La propreté est un effort quotidien qu’il faut déployer à vie », rétorque un responsable du ministère.
Mer en péril: Attention excréments et déchets industriels
La bande côtière de la Tunisie s’étendant sur 1.300 km est l’une des premières richesses du pays. Une ressource mise en péril par la pollution. Chaque année, le ministère de la Santé publie une liste de plages interdites à la baignade. L’ONAS est pointée du doigt. Des analyses révèlent la présence de germes fécaux à des concentrations importantes. Et le laisser-faire n’incite guère les unités industrielles à limiter leurs rejets polluants.
Tunisie : Chiens errants, dans le viseur d’une politique cruelle et contre-productive
Chaque année, des municipalités font abattre des chiens de rue accusés de transmettre la rage et d’attaquer les passants. Des associations de défense des animaux montent au créneau pour alerter l’opinion publique sur cette pratique cruelle. Or si la stérilisation se généralisait dans tout le territoire tunisien, le problème des chiens errants et de la rage serait résolu en 6 ou 7 ans, souligne une vétérinaire.
Tunisie : Poissons agressifs, signes d’un désastre écologique
Toute perturbation de l’environnement où vit un poisson peut provoquer des réactions dans son comportement. Il peut même changer physiquement. Le sar, menacé dans son habitat naturel, exprime son stress par le développement d’un comportement agressif. Et d’autres espèces étrangères sont désormais présentes dans les eaux tunisiennes, menaçant leur fragile équilibre écologique.
Faut-il sauver le gommier en Tunisie ?
Les arbres coupés étaient destinés à finir en charbon de bois. Comme si les contrevenants voulaient effacer toute trace de leurs infractions.Le plus préoccupant, c’est que rien ne semble inquiéter les défricheurs.Nous traitons ici du cas du gommier, une espèce caractéristique de ce qui est appelé « Bled Talh ». Les faits relatés sont liés à des observations qui s’étendent sur la dernière décennie.
Feux de forêts en Tunisie: L’été de tous les dangers
Si la saison estivale est toujours allée de pair avec les risques accrus de feux de forêts, les effets du réchauffement climatiques sur l’aggravation de ce phénomène ne font aujourd’hui plus aucun doute. Décryptage.
Les steppes en Tunisie, vers un nouveau modèle de gestion ?
Les steppes servent souvent de terrains de parcours pour le petit bétail (ovins et caprins). Comme plusieurs étendues ont été mises en culture, les espaces restants pour le parcours sont de moins en moins vastes et subissent souvent une pression continue du bétail. Il en est résulté une dégradation de la qualité des steppes et une réduction de la diversité des plantes qui les couvrent. Au grand dam des éleveurs.