Métaphysique de l’image ?

Pourquoi avoir choisi un questionnement qui interpelle, l’esthétique, l’inesthétique, l’Imaginal oriental, dans les pratiques artistiques des musulmans ? Ces problématiques très classiquement occidentales de la représentation, qui reposent sur une relance une réactualisation des notions médiévales de Jacob Boehm du mundus imaginalis (monde imaginal) de l’imaginatio vera (la véritable imagination) et de l’intuitus originarius (Intuition originaire) ?

L’image interdite de la (re)présentation (1e Partie)

La connaissance des contenus de la figuration n’épuise pas le questionnement sur la forme même de la (re)présentation et de l’irreprésentable. Une clarification est donc nécessaire pour comprendre l’esthétique de la représentation : L’interdit de la représentation n’a rien à voir avec une défense de produire des œuvres d’art figuratives. Il a tout à voir, en revanche, avec la réalité ou avec les vérités les plus assurées de l’art lui-même. Aussi, et en dernière instance, avec la vérité de la représentation elle-même, que cet « interdit » met au jour d’une manière paradoxale.

Essebsi, peut-il incarner le mal et la nécessité ?

La première détermination de la fonction présidentielle, n’est pas un simple jeu d’alliance entre les partis politiques ou un accord au sommet, ni un échange d’intérêts économiques cartellisés, ni un compromis entre des hommes d’affaires et des politiciens sur le dos du peuple, mais une fonction sacrée, et un engagement inconditionnel entre un homme et le peuple.

Est-ce bien raisonnable de voter pour Marzouki ?

Malgré qu’il y ait quelques bonnes intentions au niveau économique et régional, les effets sont restés dans l’attente, et c’est bien sur ce point, concernant le niveau de vie quotidien, que les Tunisiens n’ont pas pardonné ni à lui ni aux partis de la troïka, et c’est à ce niveau que les rcdistes ont pu jouer sur la souffrance et le malheur des Tunisiens. Au point que des citoyens lambda ont préféré l’ère du dictateur.

Lettre ouverte à Monsieur Jomaa : Un cri de désespoir. La route de Bouderiesse, le destin infernal des zones frontalières

À défaut de pouvoir les développés le régime bourguibien comme celui du dictateur Ben Ali ont fait tout pour conserver cette politique injuste et autoritaire. C’est à Tunis que se prenaient toutes les décisions, au profit du Sahel et de leurs villes natales. Le pire était que ces décisions ne soient même pas relayées ou communiqués aux habitants et sans aucun dialogue national ou dimension stratégique. La route de Bouderiesse (voir figure1) et d’autres zones de Kasserine est la preuve vivante de cet abandon bureaucratique.

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