Les articles publiés dans cette rubrique ne reflètent pas nécessairement les opinions de Nawaat.

Honorables défenseurs du sacré,

Afin de vous aider dans votre sainte mission, Monsieur Dukhani continue à rassembler dans ses articles, les idées les plus hérétiques afin que nous puissions, main dans la main, les combattre.

Les plus dangereuses sont évidemment celles qui manipulent le coran. C’est pourquoi, Monsieur Dukhani utilise le titre de Cheikh afin que nous remémorions tous les faux Cheikhs qui nous égarés pendant la Jahiliya de ZABA. Que Dieu nous aide dans notre sainte mission.

Introduction :

L’incroyable aveuglement face au coran des cheikhs et l’intarissable débilité de leur propos a de quoi laisser perplexe les musulmans sincères. Cette débilité est visible pour quiconque daigne les écouter avec objectivité, sans les vénérer et sans les idolâtrer. Les discours loufoques, ridicules et les fatwas inhumaines sont des signes pour les croyants. Aussi incroyable que cela paraît, cette débilité est un signe de leur incroyance. Reconnaître la stupidité lorsqu’elle se pare de sacré est l’un de premiers tests à réussir sur le chemin de Dieu :

Voir aussi (4-49;16-62), et (3-77 3-78;63-4;2-8 2-20;5-103;11-18 11-19)

Comment des gens qui étudient « l’islam » peuvent dire autant de bêtises ?

Cheikh Dukhani, vous propose, dans cet article, une explication théologique.

Bien évidemment, il est possible que Cheikh Dukhani soit lui aussi à côté de la plaque. D’où le titre de Cheikh qu’il s’est attribué et qui légitime toutes ses bêtises. Plus sérieusement, Cheikh Dukhani continue sa marche vers la désacralisation de la Cheikhalité.

Le fait qu’il appuie ses propos pas des versets coraniques lui ôte tout scrupule.

Il faudra toutefois attendre le 5ème opus de la série « Ibadat El Choyoukh » pour dresser un tableau complet de la thèse défendue. Le 5ème opus, le plus hérétique de tous, nécessite quelques articles de préparation psychologique.

Le présent article se propose de présenter la règle du jeu du monothéisme.

Cheikh Dukhani recommande le site Yabiladi.com\coran pour rechercher les versets qu’il cite par numéros. L’idéal étant de télécharger une version du coran pour recherche rapide en faisant très attentions aux traductions. Cheikh Dukhani reprendra, pour le moment, les traductions «traditionnelles ».

Le coran, selon le coran, est un guide pour les Muslims à Dieu et uniquement à Dieu. Il est là pour donner un sens à tout ce bazar qu’on appelle la vie.

« Comme d’hab », l’existence de Dieu et le fait que le coran soit son livre sont des hypothèses de base pour cet article.

The Game : Résumé de la règle du jeu.

La terre est remplie d’injustices. Les « musulmans » pataugent dans la pauvreté économique, scientifique, culturelle et politique. Et pour ne rien arranger, Dieu, dans le coran dit qu’il va remplir l’enfer avec les hommes et les djinns.

Dieu est –il injuste ? Pourquoi est il aussi sévère ? Qu’avons-nous fait pour mériter cela ? Ne soyons pas hypocrites. La question est réelle et sincère.

Elle fait partie de l’islam à Dieu.

Pour répondre à ces questions, Cheikh Dukhani vous propose de passer, avec le coran, par le microscopique petit trou qu’est le Big Bang.

Lorsqu’on lit le coran et ce qu’écrivent les rares musulmans désintoxiqués qui étudient le coran, on se rend compte que la soumission à Dieu et à Dieu seul est la raison de TOUT (je donnerais les versets à la fin de cette section).

Tout aurait commencé par une sorte de grosse dispute dans les cieux, probablement de l’autre côté du Big Bang. Probablement une rébellion contre l’autorité de Dieu. Les rebelles (futurs humains et futurs djinns) auraient ainsi suivis des maitres autres que Dieu (les leaders de la rébellion). La bible évoquerait un tiers des anges qui se seraient rebellés ( ?).

Après avoir remis de l’ordre dans ce bazar, Dieu aurait proposé un challenge aux rebelles. Probablement qu’ils pleurnichaient et demandaient pardon. Certains aurait accepté une punition pépère tandis que d’autres, des prétentieux, la racaille de la racaille, c’est à dire les humains, auraient accepté un challenge : Le libre arbitre. Un piège divin où seuls des prétentieux ignorants, rebelles irrécupérables, pouvaient tomber.

Les humains seraient donc, avec leurs copains djinns, des êtres qui étaient sûrs que si leur était donné le libre arbitre, ils ne se feraient pas avoir une seconde fois et qu’ils ne prendraient pas de maîtres autres que Dieu.

Ils ont été tellement sûrs d’eux-mêmes qu’ils ont accepté de parier le pardon de Dieu garanti par la punition pépère contre le loisir de jouir du libre arbitre pendant un test que Dieu aurait concocté. C’est ce test qu’on appelle « La VIE ».

Promis juré. Un à un nous aurions fait la promesse que nous ne prendrons pas d’autres divinités pendant le test. Chiche !

De ce challenge, serait né l’univers et tout le tralala qui va avec.

Voici donc ce que serait la règle de ce jeu rigolo auquel chacun de nous aurait tenu à participer :

L’enjeu : Etre Muslim à Dieu. C’est-à-dire, se soumettre à Dieu, uniquement à Dieu et ne pas prendre d’autres maîtres. Même pas les prophètes qu’il nous enverra.

Les points bonus : Uniquement pour les rares qui réussissent à ne pas prendre d’autres maîtres que Dieu. Il s’agit de se racheter en passant du grade de simple Muslim à Dieu à celui de Croyant

(49-14 et 49-15). En gros, il ne s’agit pas seulement de se déclarer Muslim (soumis) à Dieu exclusivement et de renoncer à toute association mais aussi de prouver sa foi en dépensant au nom de Dieu ce qu’on a de plus cher (3-92) : notre pognon, notre temps, voire notre vie.

En clair, nous devons passer à la caisse. Théologiquement, il s’agit d’un prêt à Dieu dont la garantie de remboursement provient de la conviction profonde du prêteur en l’existence d’un remboursement (2-245; 5-12 ; 57-11; 57-18; 64-17). Les avares est un qualificatif souvent utilisé par le coran pour désigner les humains (17-100; 47-38). L’avarice est une caractéristique de l’hypocrisie religieuse (9-67) et un pilier de la mécréance (92-8).

Notre handicap : Nous sommes tous des redoublants en session de rattrapage. Les plus prétentieux parmi les rebelles. La prétention et l’égo sont à la base de pratiquement tous nos péchés et un autre pilier de la mécréance (39-60;35-42 à 35-43;16-49;38-2;22-9;25-21;27-31;31-7;32-15; 37-35; 40-27). C’est par prétention que nous accepté « the Game » et c’est par prétention que la plupart de nous perdront à ce jeu. C’est par prétention que chaque groupe d’entre nous croit détenir la vérité, indépendamment de toute déliquescence socioculturelle dans laquelle il vit.

Notre tentateur : Satan (et sa descendance). Satan est le roi de la prétention. Un rebelle récalcitrant (peut être même le chef de la rébellion) qui s’est (encore) rebellé lorsque dieu lui a demandé de se « prosterner ? » devant Adam. Par prétention. Satan est bel et bien un rebelle à Dieu, en présence de Dieu (c’est donc possible).

Ses armes : Rien que le mensonge, les tentations, les chuchotements pernicieux et nos faiblesses. C’est par pure expression de notre libre arbitre que nous le suivrions dans ses conneries. Il n’a aucun autre pouvoir sur nous. Satan est le roi de l’esbroufe. Jouer avec nos émotions et nos sentiments d’appartenance à autre que Dieu est, pour lui, un jeu d’enfants.

Nos faiblesses : Ego, prétention, égoïsme, cupidité, ignorance, avarice, stupidité et bien sûr notre sérieux antécédent à prendre des maîtres autres que Dieu. Bref, pile poil ce que nous étions avant que Dieu ne nous montre qui est le patron. Le Replay parfait en quelque sorte avec la même bêtise à l’arrivée pour la plupart d’entre nous. D’où le ton sceptique du coran. Dieu emplira l’enfer de Djinns et d’humains, c’est-à-dire la fraction la plus pourrie de la fraction la plus pourrie de ce qui existaient auparavant.

Par ignorance, cette fraction a parié, avec la certitude de gagner, le pardon de Dieu contre le plaisir de jouir du libre arbitre pendant une courte vie. Une vie remplie de ridicule, de mensonges et d’illusions. Une vie intrinsèquement vide de sens. Une vie sur une planète en parfait état de marche, 100% bio, 100% écologique, 100% auto-recyclable, que Dieu nous a légué histoire de voire comment on se débrouille sans lui, après que l’on ait contesté son autorité. Une planète capable de tous nous nourrir mais ou coexistera l’obésité et la famine, l’extrême pauvreté et l’extrême richesse.

Notre arme : Les paroles de Dieu envoyés via des messagers et où Dieu explique la règle du jeu et y décrit « notre intelligence ».

Versets de « The Game » :

1 – La grande dispute :

C’est dieu qui demande au prophète de faire cette « immense » annonce (38-67) dont les musulmans sont écartés (ou s’écarteront ?) (38-68). Pendant, ou juste après, il annonça aux anges sa décision de créer l’humanité (38-71). De cette dispute, on n’en saura pas plus.

El Malaa veut dire cour, notables, gouvernement ou un truc du genre (7-103).

2- Création de la vie et de la mort pour « des tests » avec du pardon en arrière plan.

3-Nous aurions témoigné, un à un.

Evidemment, cela implique que les âmes, provenant du stock de rebelles, sont injectées dans des corps à la naissance ou peu après.

Ce verset est essentiel. Nous avons bel et bien existé avant cette vie.

4-L’homme, l’ignorant, accepte le challenge du libre arbitre alors que les autres en ont peur.

Evidemment que des âmes puissent « vivre » sous diverses formes, comme des montagnes, sans libre arbitre peut choquer. Mais allez prouver le contraire. L’important ici est que nous, humains, avons été les seuls à avoir accepté le challenge. Par ignorance.

Une information essentielle dans ce verset : Le libre arbitre est un cadeau empoisonné.

5-L’islam est la voie du pardon par opposition au châtiment :

On peut rajouter (3-133,3-136,5-9,8-4,11-3,11-11,15-85,34-4,35-7,9-117) dans le même style.

6-les âmes croyantes font un « RETOUR » vers Dieu

La notion de retour à Dieu est présente dans plusieurs versets.

Le verset suivant est problématique.

En comptant bien, il nous manque une mort. Mais l’interprétation n’est pas évidente au vu du verset 44-56 (voir aussi 67-2; 2-28 ; 40-11; 56-62).

Ceci dit, le coran est clair sur le fait, qu’après une certaine dispute dans les cieux, nous avons accepté, par stupidité, le challenge de la vie et à l’issue duquel rares sont ceux qui seront pardonnés.

7-Croire ou ne pas croire, est la seule raison de la création (la règle du jeu)

Evidemment ce n’est pas pour s’auto-flatter l’égo avec la pourriture que nous sommes que Dieu a fait cela (les anges auraient suffit, voir 2-30 ci-après). Faire de nous des béni oui-oui n’est pas ce qui est le plus difficile. Ce n’est pas, non plus, parce qu’il serait jaloux (des autres divinités) comme le dit la bible.

C’est tout simplement la règle du jeu de « the Game ». C’est la raison de Tout.

8- Ce que « pense » Dieu d’un bon nombre de nous.

Des « flatteries » du genre sont nombreuses dans le coran. Bestiaux, est néanmoins un mot à retenir.

9- L’humanité est nommée calife sur terre (en gros, que l’on essaye de se débrouiller sans lui).

Noter la réaction des anges. Ils ne se faisaient pas d’illusions sur les humains (2-31 précise qu’il s’agit bien des humains). On est en droit de se demander pourquoi ? Que savaient –ils de nous ?

Pourquoi s’attendaient –t ils au pire avant même nos premières bêtises en tant qu’humains ?

Connaissaient t-ils notre casier « théologique » ?

10-Satan. Un Djinn et un rebelle avec une descendance à « son image ».

Evidemment, les versets sur Satan sont nombreux. C’est une star du coran. C’est notre principal ennemi (2-208). Il n’a aucun pouvoir sur ce qui placent leur confiance en Dieu (16-99) et il en a sur ceux qui deviennent associateurs à cause de lui et décident de le prendre pour maître (16-100).

Les diables (sa descendance) bidonnent des discours et des mensonges (6-112) et ciblent en priorité les colporteurs d’ont-dits (26-221 à 26-223) dont raffolent nos Cheikhs. Il a promis de corrompre la majorité de l’humanité (17-62).

Parmi les djinns, il y aurait qui sont « gentils » et soumis à Dieu. Mais il semble qu’en général, ils sont encore plus pourris que nous et qu’ils vivent dans un monde parallèle d’où ils peuvent nous voir. Il ne semble pas qu’ils aient eu le choix pour le libre arbitre. Il n’est pas impossible que Satan soit l’Adam des djinns. Les Djinns nous égarent en général. On serait même flanqués d’un Djinn personnel qui n’arrête pas de nous raconter des bobards à l’oreille (43-36). Mais parfois, il arrive qu’on réussisse à le convertir (50-27).

Cheikh Dukhani a lu une supputation très marrante concernant nos copains Djinns (que nous ne rencontrerons malheureusement plus dans notre série). Ils seraient tout mélangés à nos âmes et crécheraient dans nos subconscients. Un bel endroit pour le parasitage. Mais là, c’est du vrai délire et rendrait le récit de Salomon particulièrement « excitant ».

Un Must de la théologie-fiction qui n’est absolument pas dénué de spiritualité et de pertinence.

11- La mission confiée à Satan par Dieu

Nous avons déjà vu dans l’article précédent que Satan est un Muslim. Il reconnait que Dieu est son créateur (7-12 ; 38-76), l’appelle Rab (38-78) et craint le seigneur (8-48).

Le plan d’action de Satan est très clair :

Plan d’action approuvé par Dieu qui lui fait notamment les recommandations suivantes :

Et voilà ce que dira Satan, après coup à ceux qui l’ont suivi :

Le mandat donné à Satan par Dieu est donc très clair :

« Emporter dans une bourrasque de conneries toutes les personnes qui ne s’attachent pas fermement à la parole de Dieu et qui placent leur confiance en d’autres que Dieu ».

Satan, bien sûr, n’est pas tout rouge, n’a pas de cornes et ne tient pas de tridents à la main.

Cela nous change du Satan de l’islam aux Cheikhs, un petit rigolo qui fait pipi dans les oreilles et qui entre dans la gorge de ceux qui baillent la bouche ouverte, conformément aux hadiths sacrés compilés par de vieux rabougris experts en ouï-dire et ragots colportés sur des siècles.

Satan est ainsi le premier messager de Dieu envoyé aux Hommes (et hop, une condamnation à mort de plus pour hérésie). Le verset 17-64 cité plus haut en est la preuve. Le premier messager de l’islam est encore en service et son action est toujours approuvée et appuyée par Dieu.

12- Histoire de pommes

L’histoire du supposé pommier au paradis avec lequel Adam a péché peut avoir un autre sens que la faute originelle. Au second degré, c’est un avertissement clair contre le culte des anciens et symbolise la solidarité des humains, au travers des générations, dans la transmission des bêtises.

En acceptant the Game, nous savions que nous aurions pour partenaires de jeu d’autres rebelles aussi stupides que nous. Le jour du jugement, nous assisterons, sous l’œil satisfait du devoir accompli de Satan, à un spectacle de renvoi de fautes entre générations (7-38) ; entre les « forts » et les « faibles » (34-31 à 34-33) , les chefs et les subordonnés (37-30 à 37-35), meneurs et suiveurs (2-166 à 2-167).

Théologie de « The Game » :

L’association est le plus grand des crimes. Le crime originel commis probablement par chacun de nous. Le seul que Dieu ne pardonnes pas. A part ça, il pardonne à qui il veut (4-48 et 4-116)

Normal, c’est la règle du jeu.

Elle n’est pas pardonnable même pour ceux qui passent leur temps à faire la prière. Un associateur qui fréquente une mosquée témoigne contre lui-même (9-17). Il y en a même qui sacrifient leur enfants (6-137). Les associateurs, par définition coranique, croient en Dieu (2-165; 31-25 ; 43-87) mais prennent d’autres divinités en disant qu’elles les rapprochent de Dieu (39-3). C’est de la triche et Dieu ne se fait pas avoir, même si la divinité prise est un messager de Dieu, un prophète ou un prêtre (3-80,9-31).

Dieu n’a jamais recommandé les clergés (57-27 partiel : ورهبانية ابتدعوها ما كتبناها عليهم).

Une des conséquentes marrantes de l’association est que Dieu nous met direct un voile opaque entre les yeux et ses paroles. Elles deviennent alors incompréhensibles. Ca s’arrange illico après le rejet de tous les maîtres (7-3). Le coran ne redeviendrait alors compréhensible que pour ceux qui considèrent, tautologiquement, trivialement, que seules les paroles de Dieu sont les paroles de Dieu (45-6). C’est la règle du jeu. D’une simplicité sans pareil.

Le voile magique de la stupidité est ainsi le seul voile islamique que l’on peut trouver dans le coran (10-43 ; 41-44 ; 27-81; 2-18; 2-171; 30-53; 43-40; 7-186;6-25;17-46;18-57;41-5).

Voilà pourquoi les cheikhs sont les plus inaptes à comprendre le coran. Ils ont pris Bukhari et Muslim pour Maitres, entre autres. Pendant des années, ils ont étudiés Abou Horeira & Co et considéré que c’est la religion de Dieu alors qu’ils savent qu’ils n’ont pas été mandatés par Dieu.

On peut leur mettre n’importe quel verset du coran sous le nez, ils l’interpréteront de travers. Ils lisent davantage le tafsir (exégèse des anciens) du verset que le verset lui-même. Le coran que vous lisez n’est pas celui qu’ils lisent car ils lisent entre les lignes et pas sur les lignes.

Le sens direct des versets leur échappe et leur est inaccessible. Même la profession de foi coranique leur est invisible. L’aveuglement est total et le voile est alors totalement opaque. Rien ne passe. Face au coran, leur cerveau est alors totalement déconnecté des yeux et des oreilles. Pour eux, le coran n’est plus qu’un livre à réciter, et des paroles à chanter. Le coran est pour eux un livre que la science a quitté pour d’autres livres, ceux de leurs idoles, ceux de leurs Dieux.

La suite de la série Ibadet El Chouyoukh est toute à la gloire de nos Cheikhs. Cheikh aveugle, sera, d’ici la fin de la série, pour certains, un doux euphémisme.

Oui, même avec le coran, vous ne pouvez pas communiquer avec des Cheikhs. Ils ne peuvent s’empêcher de sortir leurs hadiths sacrés (39-45;40-12) et y concentrer leur méditation (10-35 10-36;53-23;31-6;45-6 ; 7-185 ; 77-50). Ils ne peuvent se résigner aux seules paroles de Dieu (43-43; 3-103) pour leur religion et préfèrent déblatérer sur les divisions doctrinales (30-31 et 30-32 ; 6-159) créées par les imams qu’ils ont eux-mêmes sacralisés (7-33;7-71;12-40;22-71;30-35;40-35;40-56;53-23).

Que dis-je, c’est surtout avec le coran que l’on ne peut communiquer avec les Cheikhs.

Ne cherchez pas à comprendre comment cela est possible. Ceci est un miracle. Allahou Akbar.

Le kofr (mécréance) est une notion très mal comprise. En réalité elle englobe toute rupture du contrat avec Dieu y compris l’association. Par exemple le verset 3-80 est très clair ; prendre les prophètes et les anges comme seigneurs (arbab), c’est du Kofr alors que ceux qui le font sont visiblement des « croyants ». Le Kafir peut donc croire en Dieu, en Moise, en « Jésus » et en Muhammad.

J’espère que vous comprenez maintenant pourquoi il est impossible de faire entendre raison à un Muslim aux cheikhs. Vous ne pouvez pas lutter contre le voile opaque que Dieu a mis. Il s’agit d’une stupidité miraculeuse et vous ne pouvez rien y faire. Il est strictement impossible de faire entendre raison à un salafiste sincère, quoique vous fassiez. Ceux qui ont essayé comprendront.

On doit d’abord commencer par essayer de reconnecter le cerveau en essayant de lui faire prendre conscience qu’il n’est qu’un soumis aux cheikhs et qu’il sera renié par Dieu et son messager. Et c’est loin d’être facile. Tous les arguments rationnels ne valent pas une barbe.

A chaque fois que vous sortez un verset « choquant » à un muslim aux Cheikhs, la réaction est toujours la même. Rejetant le sens direct et évident il dira : « Euh ! laisse moi regarder les tafassir (explications des cheikhs), et je te répondrais plus tard ».

Eh oui ! Ce sont ceux là. C’est bien d’eux qu’il s’agit. Ceux qui ne peuvent pas lire sur les lignes. Ceux qui sont écartés du sens direct. Ceux qui sont bannis du coran par le voile miraculeux et qui ne peuvent le lire sans courir vers des maîtres et choisir ceux qui leur conviennent le mieux.

Par exemple, concernant la chahada d’Abi Horeira de l’article précédent, Cheikh Dukhani aurait pu se contenter de dire qu’elle n’a pu être prononcé par aucun des prophètes de l’islam et qu’elle sonne horriblement faux dans la bouche de Muhammad. Mais ce genre d’arguments, évidents, purement rationnels, purement logiques, n’a aucune chance de traverser un voile miraculeux que même les paroles de Dieu ne peuvent plus franchir.

Rien à faire. Cheikh Dukhani peut mettre autant de versets qu’il veut. C’est sans espoir.

Débilités, bêtises diront t-ils. Pourtant, ils ont rarement vus un article avec autant de versets de leur Dieu ( ?). Cheikh Dukhani pourrait postuler pour le Guinness book pour le nombre de citations coraniques par article, cela ne changera rien. Ce n’est pas à Dieu qu’ils sont soumis, mais aux cheikhs. Ils sont sourds aux paroles du premier et toute ouïe pour les seconds.

Ils ont beau lire la fatiha 5 fois par jour, ils n’arrivent pas à la comprendre. Ils y déclarent l’unicité de Dieu puis vénèrent le prophète et ses compagnons. Ils promettent de ne demander de l’aide qu’à lui mais comptent sur les Cheikhs pour leur expliquer la religion. Ils lui y demandent de les guider vers le droit chemin puis sont sûrs d’y être le reste de la journée.

« On » leur a susurré à l’oreille que la fatiha est destinée aux autres, même s’il y est dit « nous » et qu’ils la récitent des milliers de fois dans une vie.

La fatiha, un vrai résumé condensé de l’islam. Première page du coran, répétée 5 fois par jour et incomprise par les Muslims aux cheikhs. Que dire du reste alors ?

Même élu par le peuple, un muslim aux cheikhs se transforme en zombie errant dans les couloirs de l’assemblée en attendant les instructions de son cheikh. Pour des novices, cette docilité et cette soumission est peut être facilement confondue avec de la discipline et de l’ordre.

Il semble même, qu’au vu des gaffes accomplies par des zombies qui n’avaient pas pleine conscience de leur statut, le droit d’expression leur a été sévèrement restreint. Dans l’islam aux cheikhs, l’élu du peuple doit fermer sa gueule. C’est l’élu de la soumission et soumis il doit être.

Satan est un expert en voiles de la bêtise. C’est pour cette raison que la première étape consiste toujours à faire accepter un maître autre que Dieu (16-100). N’importe lequel fait l’affaire (moise, jésus, Muhammad, Darwin, des « experts », un grand penseur ou un grand philosophe, un parti politique, la télé, l’humanité, la race, le genre (masculin/féminin), la nation, un grand leader..). Tout est bon pour Satan. Une fois que le voile miraculeux est mis, « la victime » devient alors l’otage de Satan, exploitable pour combattre d’autres groupes d’otages et les monter les uns contre les autres. Mieux encore, l’otage, petit à petit, s’identifie à son groupe et ne veut plus être libéré. Plus il utilise son libre arbitre, contrairement à sa promesse, pour s’identifier à un autre groupe que celui de Dieu et plus le voile est opaque.

Evidemment, les voiles de la stupidité sont cumulables.

Le plus amusant est que l’otage garde toutes ses facultés intellectuelles pour identifier les bêtises d’un autre camp. Le voile est sélectif et ne bloque que les bêtises du groupe auquel on a choisi d’adhérer. C’est d’ailleurs la preuve de l’existence du voile puisqu’on ne peut expliquer facilement la coexistence de la bêtise et de l’intelligence dans un même cerveau.

Par exemple, dire que Jésus ne peut pas être descendant des prophètes, conformément aux évangiles, par son père Joseph, vu qu’il n’a pas de père, est compréhensible par tous les humains, sauf bien sûr les chrétiens. Plus on est chrétien et plus on trouvera d’explication théologiques à cette absurdité.

De même, sur une autre bêtise, comme celle qui dit que la religion se transmet (sic !) par la maman alors que la bible cite des généalogies patriarcales, nous perdons tous les juifs et récupérons tous les chrétiens.

Mais le plus rigolo est l’athée musulman. Il n’osera jamais contester la chahada d’Abi Horeira, alors qu’il combat la charia, les cheikhs et prône la « laïcité ». La raison est simplement que la Chahada d’Abi Horeira est gravée dans son identité arabo-musulmane et que, pour lui, ce n’est plus une histoire de religion.

Tout ça est miraculeux.

Dans sa bonté et sa miséricorde, Dieu a rendu stupide les Cheikhs, les rabbins et les prêtres. L’incommensurable flot de débilités qu’ils débitent permet aux Muslims à Dieu de mieux les identifier comme charlatans et rendra la position de ceux qui s’accrochent aux « barbes » indéfendable, le jour du jugement (d’où, peut être, l’expression « chadid fi lahya »).

Faire entendre raison à un Muslim aux cheikhs est une véritable conversion à l’islam. Mêmes les messagers de Dieu, miracles à l’appui, ont en raté quelques unes.

Mais cela reste possible.

L’islam aux cheikhs à un seul point faible : le Coran.

Les Muslims aux cheikhs croient au coran et seul le coran peut reconnecter leurs cerveaux. A la seule condition que Dieu accepte de lever son voile. Mais il n’accepte pas toujours de le faire.

Dans ce cas, rien ne sert d’insister. C’est mission impossible.

C’est bien un chantage au coran, par le coran, de l’auteur du coran, à ceux qui ne croient pas au coran, contre ceux qui croient à autre chose que le coran, avec pour principal ennemi les experts du coran, qui apprennent le coran, sans rien comprendre au coran et avec pour principaux allies ceux qui croient au coran, rien qu’au coran. On y reviendra au 5ème opus.

Pour ce qui est de la gestion de la planète, Dieu nous regarderais nous démerder sans lui.

Peut-on le lui reprocher, nous qui l’avons renié et suivi d’autres maîtres que lui ?

Il laisserait Satan faire sa pub et son marketing en toute liberté (d’expression). Sinon, l’examen serait trop facile et on serait soumis à Dieu par pure cupidité. La foi, c’est croire en dieu sans le voir (bil ghaib en reprenant les termes du coran).

Islam à Dieu et jihad d’abord, aide de Dieu après. On ne la lui fait pas.

Ne soyons pas hypocrites. Croire en un Dieu invisible n’est pas facile et les questions troublantes ne manquent pas. La raison est un pilier de la foi. Le doute est un pilier de la raison. Seule la conviction intime est demandée dans l’islam à Dieu.

La conviction intime est contestable par Dieu en l’absence de bonnes œuvres. C’est le grade supérieur de l’islam. Le grade de véritable croyant. Celui qui prêtre son argent à Dieu et qui croit en lui sans le voir (2-3;19-61;21-49;35-18;36-11;50-33;57-25;67-12).

Les preuves de l’existence de Dieu sont nombreuses mais probablement jamais déterminantes. Dieu est le maitre de l’invisible (ghayb) et de la CHAHADA (témoignage) (6-73;9-94;9-105;13-9;23-92;32-6;39-46;59-22;62-8;64-18).

L’endoctrinement n’existe que dans l’islam aux cheikhs. Le doute et le sens critique n’est interdit que dans l’islam aux Cheikhs. C’est le premier pilier de toutes les sectes du monde et le moteur essentiel de la bêtise.

Selon la théologie de « The Game », la terre ne sera jamais le paradis. Elle sera toujours pleine de petits prétentieux ignorants qui croient détenir la vérité et qui utiliseront leur libre arbitre pour faire des bêtises, en défendant leur « systèmes de valeurs ». Les « bani Israël » ont prouvé que vous pouvez y mettre autant de prophètes que vous voulez, sans résultats.

A priori, les observations empiriques semblent coller.

Le voile islamique et le déni du livre

L’association, dans l’islam à Dieu, débute lorsqu’on commence à considérer que c’est une religion apportée par Muhammad. L’islam est la religion de Dieu. L’histoire de l’islam commence bien longtemps avant Muhammad. Elle commence avec Abraham. C’est le coran qui le dit à plusieurs reprises. L’islam, sans Muhammad, est donc possible (3-67;2-140;22-78;2-132;27-42;3-52;5-111;28-52:53;42-13;2-130 ; 2-135 ; 3-95 ; 4-125 ; 6-161; 16-123).

Une des conséquences logiques est que l’islam n’est pas non plus la religion apportée par le coran. Le coran n’est pas l’islam. Que de versets dans le coran sont consacrés à ceux qui étaient muslims avant l’arrivée du coran. L’islam aux cheikhs nous a appris à associer islam à Muhammad, à son message, et à élever le prophète au dessus de tous les messagers.

C’est un crime. Une apostasie. Du Kofr pur et simple.

Ce que nous appelons judaïsme et christianisme est aussi de l’islam. Ils ont, eux aussi, reçu « le Livre », c’est-à-dire l’islam (3-19). Ce qu’ils ont en fait est une autre histoire. Nous avons aussi reçu « Le livre ». Ce sera la dernière édition « du Livre » (33-40). Une édition protégée par Dieu lui-même (15-9 ; 6-115 et 18-27), contrairement aux autres éditions, confiées aux humains, perdus ou falsifiées.

Le coran a un destin. Il est destiné à dominer l’ensemble de la religion de Dieu (9-33;48-28; 61-9 ; très mal traduits).

Le « Livre ». Qu’est ce le livre ?

« Le livre » est auprès de Dieu. Le coran n’en est qu’une édition arabe. Elle ne diffère de ce que dieu a précédemment révélé que par ce que Dieu a voulu, et pas de beaucoup. A part la préservation garantie du message, le coran n’apporte pas grand-chose de nouveau par rapport à ce qui a été déjà dit aux autres prophètes.

La seule véritable nouveauté est la promesse de la protection contre l’altération du texte.

En réussissant à faire dire aux musulmans que les gens du « livre » » (ahl el kitab), ce n’est pas nous mais c’est les juifs et les chrétiens, Satan a réussi un véritable tour de force. Il faut être aveugle comme un Cheikh pour ne pas y voir un piège à cons et un témoignage contre soi-même.

Comment peut-on dire cela ?

Les Muslims aux Cheikhs hurlent en chœur : « Les gens du livre, ce n’est pas nous » !

C’est un cas hallucinant d’aveuglement collectif.

Dans le coran, ceux qui n’ont pas reçu le « Livre » sont appelé des ommis. Le mot Ommi a été perverti et utilisé pour « analphabétiser » le prophète. Pourtant le sens est évident d’après l’utilisation du mot par le coran, dans son contexte (voir 2-78;3-20;3-75;62-2). Un sens désormais inaccessible pour ceux qui ne peuvent pas lire le coran sur les lignes.

L’interrogation du jugement dernier portera sur le « livre » (43-44) et pas sur ce qu’ont dit les cheikhs et les prêtres. Face à Dieu, seuls (19-95; 2-48;2-123;2-165; 41-48 ; 6-14, 6-22 ;82-19).

Les juifs et chrétiens (et d’autres ?) sont ceux qui ont reçu le livre avant nous (ootoo alkitaba min qablikum 4-131;5-5;5-57;57-16). Leur foi (pour ne pas dire religion) a été aussi pervertie que celle des musulmans, par les mêmes mécanismes. Le Muslim à Dieu ne doit pas tomber dans des considérations partisanes. Il n’a pas à se solidariser avec un groupe qui se fait appeler musulman contre d’autres groupes qui portent d’autres noms. Tous égaux et plus personne n’est l’élu de Dieu (5-18; 62-6).

Etre Muslim à Dieu, c’est s’élever au dessus de tout ça. Ni juifs, ni chrétiens, ni sunnites, ni chiites. Etre Muslim à Dieu va très loin. Aucun groupe sauf celui de Dieu.

Voilà qui est clair. Sauf pour ceux qui considèrent avoir reçu le coran mais pas de livre.

Partout, prêtres, rabbins et cheikhs stimulent les rivalités et les discours identitaires parmi ceux qui vénèrent le même Dieu.

Isaa ibn Meriem, Moise et Muhammad. Ils sont tous de la même région. De quelle identité judéo-chrétienne parlent t-ils ? Pourquoi eux et pas lui ? Aucune raison valable. Eux aussi, ce sont leurs prêtres qui leur ont choisi quoi et comment vénérer.

En quoi le Muslim au cheikh est différend ?

Les religions monothéistes de Dieu. Quelle absurdité dans le pluriel.

Une seule religion. Systématiquement pervertie par les hommes qui se font appeler prêtres, cheikhs et rabbins. Ceux que Dieu a rendus, par bonté et miséricorde, débiles comme signe à ses vrais fidèles, à ceux qui n’ont pas des voiles miraculeux « super-stupidité » devant les yeux.

Tel est le plus important enseignement de l’histoire de l’islam. Celle racontée par le coran.

La parole de dieu s’adresse à tous. Elle ne doit pas rester aux mains de ceux qui en font un métier et qui en tirent salaire (11-51; 36-21;10-72;11-29;12-104;25-57;26-109;26-127;26-145;26-164;26-180;34-47;38-86).

Le Muslim à Dieu doit s’élever au dessus de toute considération nationale, raciale, sexiste ou identitaire. Aucun groupe sauf celui de Dieu.

Il doit se faire sienne l’histoire de l’humanité. Tout le coran parle d’évènements antérieurs à ce qu’ils appellent « civilisation islamique ». « La civilisation islamique » est externe à la religion. L’histoire de l’islam, racontée par le coran, est totalement déconnectée de l’histoire de l’islam, racontée par les cheikhs. La première se termine lorsque la seconde commence (sacré Satan !).

Les grands califes, les omeyyades, les abbassides et toute la smala des cheikhs, c’est l’histoire de l’islam aux cheikhs et pas de l’islam à Dieu. Le coran ne parle pas de ces gens.

Adam, Noé, Moise, Isa ibn Meriem, Lot, Abraham et les autres. C’est ça l’histoire de l’islam. Et ces gens là ne connaissaient rien au fiqh et à la science des Malik, Hanafi, Hanbal et autres faux prophètes de l’islam.

Selon la définition actuelle de savant musulman, et les prérequis exigés pour l’accès à la cheikhalité, d’après l’islam aux cheikhs, un seul constat s’impose :

Le prophète Muhammad ne serait pas de nos jours qualifié pour être un bon cheikh.

Quant à Abraham, le « père des musulmans », il vaut mieux ne pas en parler. 100 % inculte dans l’islam aux cheikhs et 100% banni de la science « islamique ». Le pauvre, il n’a reçu ni la science de Bukhari, ni celle de Muslim, ni celle d’Abi Horeira, ni même du moindre petit cheikh de quartier.

Pire, il n’a pas reçu la science de Muhammad, comme tous les prophètes avant lui d’ailleurs.

Jamais on ne le laisserait prêcher dans une mosquée de nos jours. Inapte.

Le « père » de l’islam est ainsi relégué au rang d’ignorant de l’islam pendant que les musulmans s’identifient désormais par des formules qui puent l’association à mille lieux à la ronde (exemple musulman selon la doctrine malékite, ou Muslim Wahabite, …).

Le coran est clair. Islam=Millat d’Abraham (2-130;2-135;3-95;4-125;6-161;16-123).

L’islam, simplement une question de foi ? Foutaises. Encore une invention satanique pour désactiver tout sens critique et accepter toutes les contradictions possibles et imaginables. Une véritable carte blanche pour toutes les stupidités Cheikhales et un véritable blasphème dans une religion qui invite, constamment, à réfléchir et à se méfier des mensonges.

L’islam, une culture, une identité ? Encore des foutaises. Encore une invention satanique afin que vous utilisiez votre libre arbitre pour faire comme votre voisin de palier. Ainsi, Satan est capable de copier coller, sans trop se fatiguer, ce qu’il a déjà fabriqué pour vos parents et votre entourage comme croyances biscornues et haine des autres cultures.

Combien, parmi ceux qui ont accepté le libre arbitre, sont réellement entrain de l’exploiter ?

L’islam aux Cheikhs est à l’histoire, la culture, la science, la réflexion et la religion ce qu’Attila était pour l’herbe. Les Tunisiens, qui sont berbères comme le prouve la science impie de la génétique sont désormais flanqués d’un « nos ancêtres les arabes » tout à fait comparable à un « nos ancêtres les gaulois ». L’islam aux cheikhs est une abomination sur tous les plans.

Conclusion :

D’après le coran, le jour du jugement sera le jour du grand show de Dieu. Ce sera le jour de vérité au sens que la bourrasque des esbroufes sataniques s’arrêtera et que la vérité vraie apparaitra. Le jour du grand bêtisier de l’humanité. Le jour où les cheikhs et leurs soumis comprendront, peut être, le premier verset du coran, celui qui est répété dans chaque sourate, celui où il est fait référence à un Rahman et à un Rahim.

A bientôt, in chaa Allah, pour une petite histoire de l’islam.