Béji Caid Essebsi, l’homme octogénaire, revient sur la scène politique et marque la journée du 16 juin 2012 par une conférence qui a réuni plus de 7000 personnes. Venu annoncer la nouvelle alliance partisane sous le nom de « L’appel de la Tunisie », l’ex premier ministre, qui a laissé place au nouveau gouvernement de la Troika après les élections du 23 octobre 2011, a fait un discours riche en significations.
Le rendez-vous a été fixé à 10 heures du matin au Palais des Congrès à l’avenue Mohamed V à Tunis. Un dispositif sécuritaire a été mis en place pour assurer le bon déroulement de ce meeting. Cependant, quelques dizaines de manifestants se sont mis devant la porte pour dénoncer cette réunion.
Une jeune femme criait « cet homme est un traitre ainsi que ceux qui le suivent ! Le 13 octobre 1959, alors qu’il était directeur général de la Sureté de l’Etat, il a pendu mon oncle Salah Najjar qui était youssefiste et on ne sait toujours pas où il est enterré…»
Vers 11h du matin, les deux hommes de l’initiative : Taieb Baccouche et Beji Caid Essebsi apparaissent. La foule commencent à chanter l’hymne national tunisien.
Remarque 1 :
Pendant les premiers mois de la Révolution, les Tunisiens chantaient l’hymne national pour toute occasion de manifestations ou rassemblements et ce avec beaucoup de joie puisque ses paroles sont bien porteuses de significations citoyennes et révolutionnaires. Par ailleurs, avant le 14 janvier 2011 ce chant usité par le régime de Ben Ali n’avait plus ni gout ni sens ; chose qui a changé après la fuite du président déchu.
Après la chute de Ben Ali, il est nécessaire de faire remarquer qu’il y avait un sentiment de jubilation à chaque fois qu’on chantait surtout cette deuxième strophe de l’hymne :Que ne vive point en Tunisie quiconque la trahit.
Que ne vive point en Tunisie qui ne sert pas dans ses rangs !Tout au long de cette réunion où l’hymne a été chanté, les présents s’arrêtaient, net, à la première strophe, chose bien significative vue le fait que les rcdistes bien présents dans la salle sont encore considérés comme les traîtres de la nation. Ce n’est qu’à la fin du meeting qu’un CD a été mis où pouvait entendre tout l’hymne sans interruption.
Remarque 2 :
Tout au long de ce meeting, et bien que l’initiative donnait un nouvel espoir aux rcdistes venus par milliers soutenir l’Appel de la Tunisie, Béji Caid Essebsi n’a à aucun moment prononcé le mot « rcd ou rcdiste ». Désormais on parle de « destourien » un terme bien compris par tout le monde où on se prête à une sorte de négation provisoire de ce passé- le temps que le peuple l’oublie.Niant par leur silence leur affiliation à l’ex-Président, ça sera plutôt le nom de Habib Bourguiba, le premier Président de la Tunisie, qui sera répété plus de trois fois pour rappeler « la gloire de la Tunisie fière de ses acquis réalisés durant les cinquante années passées ». Outre le mot « rcd », ça sera celui de « Ben Ali » qui sera le mot noir à éviter.
D’emblée M. Béji Caid Essebsi aborde les deux questions d’actualité, à savoir la sécurité de plus en plus fragilisée dans le pays et l’état du tourisme en crise. D’ailleurs, à quelques mètres du Palais du Congrès une manifestation organisée par la Fédération Tunisienne des Agences de Voyages et du Tourisme (FTAV) et la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie (FTH) se déroulait sur l’av. Habib Bourguiba. L’objet de cette marche était de tirer la sonnette d’alarme contre les violences qui mettent à mal la situation du tourisme tunisien. Coïncidence ? On ne peut le savoir pour le moment.
M.Essebsi prend clairement la position des artistes en déclarant qu’ « il n’y a pas de vie sans créativité ». Signalant l’absurdité de la décision du ministre de la culture qui a fini par fermer le Palais il fera savoir que la réaction du ministre était inappropriée.
En outre, il rappellera le fait que la peinture controversée où on voit la kaaba et le prophète n’a pas été exposée en Tunisie mais au Sénégal. « Serait-ce Dakar la capitale de la Tunisie ? » lance-t-il ironiquement en visant par là le ministre des affaires étrangères connu pour ses lacunes en géographie.
Ce dernier aurait dit que « l’âge biologique de Béji Caid Essebsi était épuisé. » L’homme politique, en rapportant, ces propos rétorque devant la foule que ce « pauvre homme est excusable puisqu’il ne connait même pas la capitale de la Turquie.»
Ainsi, ridiculisant à deux reprises Rafik Abdessalem, M.Essebsi s’adresse aux présents qui s’esclaffent de rire et qui partagent avec lui son but, celui d’évincer un gouvernement “d’incompétents” …
Dans ce discours bien ficelé entre rires et verve bien tunisienne et à l’ancienne, un appel a été lancé à tous les partis qui voudraient se rallier à cette initiative pourvue qu’ils respectent les points suivants :
1-« Croire en l’Etat tunisien »
2-« Se maintenir au premier article de la Constitution de 1959, sans rajout ni soustraction »
3-« Réserver le drapeau tunisien sans brandir aucun autre qu’il soit noir ou multicolore »
4-« Préserver les acquis de la Tunisie des cinquante années précédentes et surtout le code du statut personnel »
5-« Se conformer à la démocratie, la vraie gouvernance, et ce selon les critères internationaux »
6-« Réaliser la justice sociale et le droit aux régions à une répartition équitable des richesses »
7-« Refuser la violence et opter pour le dialogue »
Pour conclure, l’ex-premier ministre proposerait un Etat de droit où seul la violence légitime de l’Etat serait permise afin que la Tunisie sorte de la situation sécuritaire précaire causée par ceux qui ne croient ni en l’Etat ni à ses symboles tel que le drapeau tunisien.
Répété à maintes reprises, il appelle à « l’ouverture » en refusant l’exclusion des « destouriens » et des hommes d’affaire dont les passeports sont confisqués et ce afin de relancer l’économie et faire fonctionner l’Etat.
Anwar Kallal, l’un des présents à ce meeting a été bien ravi par cet appel et ce discours. Président du club des investisseurs Tunisiens en France, il nous a fait savoir que mise à part les 2000 passeports confisqués des hommes d’affaire, « 215 milliardaires tunisiens » ne peuvent plus travailler à cause des restrictions dont ils font l’objet actuellement .
Dans le Palais des Congrès, outre les rcdistes qui étaient au rendez-vous, des Tunisiens curieux sont venus écouter M.Essebsi avec un espoir, celui d’une Tunisie où « l’identité tunisienne serait respectée » dixit Moncef Khemiri, un professeur universitaire.
D’ailleurs, lors de la conférence de presse qui a suivi le discours M.Essebsi, M.Taieb Baccouch, l’autre “deus ex machina” censé sortir le pays de cet état précaire, a défié les islamistes qui ne cessent de traiter tous ceux qui critiquent le gouvernement de mécréants, d’être dépourvus des valeurs islamiques et que ces « salafistes » ne seraient pas musulmans.
Ainsi, une guerre d’identité semble de plus en plus visible entre les deux camps politiques majeurs en Tunisie. Entre Ennahdha et le RCD, certains tunisiens se voient confrontés à choisir entre la peste et le choléra. Que ce soit le gouvernement incompétent d’Ennahdha qui ne cesse d’intégrer des rcdistes corrompus ou l’Appel de la Tunisie, coalition d’rcdistes, de destouriens et de quelques partis de gauche, le choix se porterait probablement sur celui qui assurerait la chose la plus vitale que tout citoyen réclame, à savoir la sécurité.
NB: Deus ex machina est une locution latine signifiant « Dieu issu de la machine ». Elle est surtout employée dans le vocabulaire théâtral au sujet d’une personne qui arrive, d’une façon impromptue, à la fin de la pièce et par qui le dénouement s’effectue. Dans le cas actuel de la Tunisie, Béji Caid Essebsi et Taieb Baccouche se présentent comme la solution providentielle à tous les problèmes.
En parallèle sur les réseaux sociaux, les réactions face à cet “Appel de la Tunisie” ont été bien diverses, en voici un aperçu
j adhere j adhere et j adhere totalement a BCE
Le déchirement ne mène a rien il faut choisir qui mène a bien le pays pour le moment qui est dans un état critique,il faut opter pour le moindre mal et ça ne peut être en aucun cas les islamistes ni leur ayatollah guanouchi qui mérite la pendaison !!!
BCS me rappel un proverbe arabe qui dit : ” in lam tastahi fafâl ma chïta”, ou celui qui dit : ” azouza harba maâ lemtahrin”,mais la plus belle et celle qui me plait le plus est : ” la victime est si belle, et le crime est si gai “.
c’est exactement l’esprit des memes discours des deux regimes d’auparavant le monsonge et manipulation de la realite des choses,mais ce qui leur manque cette fois ci l’arme du baton qui faisait peur et obligeait les gens de les suivre ou les faire taire.
Entre deux maux…La messe est dite.Les commentaires négatifs sont d’une totale mauvaise foi ne prenant pas suffisamment de distance vis à vis de l’événement.Nous avons deux projets societaux qui s’affrontent libre à chacun de choisir le sien.Me concernant les choses sont claires même si il est avéré que d’anciens RCD distes trouvent un tremplin à travers cette initiative il serait malhonnête daffirmer que le projet de BCE est un instrument aux mains ce ces derniers.Raccourci hâtif et peu crédible.L’article est d’ailleurs biaisé dans ce sens.Aujourdhui un nouveau tremplin pour contrer le projet islamiste est né libre à chacun d’y croire ou pas je souhaite et conseille aux esprits retors et négatifs si ce n’est encore fait de s’engager dans l’action au plus tôt le temps presse.
@ben hoooo oui,parceque la pendule de mr F M I
fait tic tac tic tac tic tac ,et si on choisi mal
on sera peut etre obliger de payer nos remboursement et nos dettes par de la chair a canon ,tic tac tic tac tic tac……
hahahhhhhhhhhh vous me faite rire les rcdistes pur et dure sont toujours à l’état avec ennahtha main dans la main le meilleur exemple est :HABIB ESSID et MONCEF LAGIMI ,arrêter de prendre les tunisiens pour des cons .
avec tout le respect que l’on doit à cet octogénaire arriere arriere grand père d’autant plus que c’est un bon blagueur, Beji caid essebsi ne sera pas une solution pour la tunisie mais une formidable catastrophe.
Essebsi c’est l’homme sécuritaire de Bourguiba avec des dossiers non soldés dont il n’a jamais rendu de compte ici bas (allez demander aux descendants des youssefistes). Essebsi, c’est celui qui fut tant docile sous ben ali ne faisant meme pas semblant de se facher sous le dictateur. Il n’a rien fait, rien dit et sans doute rien entendu. Beji, c’est ce grand absent durant les jours qui ont précédé le 14 janvier pendant que des enfants se faisaient tirer dessus. Ou était tu si BEJi à toutes ces périodes critiques de l’histoire tunisienne ou le peuple tunisien recherchait une aide désespérement. Mais bon passons sur tout cela et pardonnons car il y a plus grave.
Beji, c’est cet homme qui en direct, en face de nous, sans honte et nous prenant pour des frappés d’alzeimer comme si on avait pas de mémoire, qui ose vouloir redonner une virginité politique à tous les ex rcd qui ont violé, torturé et martyrisé la Tunisie en long large et travers. Faute de supporter parmi le peuple tunisien, le vrai non pas celui qui vit a marsa land ou carthage land avec les nantis canichisés de la France, il est obligé de s’appuyer sur cette bande d’anthropophage qui ont bouffé le peuple sous Ben ali. Mais la encore, passons et pardonnons car la encore il y a plus grave.
Car si Beji et ça peut se comprendre vu tous les kilomètre qu’il a au compteur a oublié que les tunisiens ne veulent plus d’un one man show politique pour diriger la tunisien, le peuple lui n’a pas oublié que ce qui lui a couté cher pendant près de 60 ans entre le règne de bourguiba et de zinochet c’est que ces deux lascars ont gouverné seul en tuant toute centre de pouvoir autre. Il n’y a eu ni assemblée, ni forces civiles, ni presse libre, rien. Il n’y avait que le dictateur. Si beji, réveille toi, les tunisiens n’en veulent plus des hommes providentiels. Tu te trompes de siècles, tu n’es plus à jour mon vieux. Mais la pardonnons encore a notre compatriote. Car oui encore il y a plus grave et c’est sans doute la le plus grand danger pour la tunisie. Car si Beji ne nous a toujours pas expliqué qui constitue son équipe, qui le finance et qui tire les ficelle dans les coulisses. Il n’a échappé a personne que si Beji, sans doute trés fatigué malgré qu’il ne fait pas du tout ses 86 ans, n’est que la vitrine politique “propre et honorable” de ce grand théatre ou il tient le role principal. Pourquoi si Beji ne nous dit pas qu’il y a un consortium d’hommes qui nagent entre affairisme et politique qui le soutiennent. Pourquoi ne nous dit il pas qu’il a rencontré ces hommes d’affaires a paris il y a quelques semaines. Est ce que c’est par hasard qu’il s’est retrouvé a la meme table d’une pièce privée d’un grand restaurant parisien ou mangeait en meme temps K eltaief et Nabil karoui? pourquoi cacher cela si beji?
Beji, sache une chose, en tant que tunisien tu es des notres mais en tant que politique ton bilan est lourd et tu ne fais rien en ce moment pour que l’histoire te pardonne ne serait ce qu’un peu.
Merci a l’excellent nawat de ne pas me censurer/ un admirateur averti de si beji.
@souleiman ,oui c ca la democratie. et si vous demandez des comptes ,n oubliez surtout pas nos nouveaux dirigeant pseudos islamistes ,qui eux cognaient a l aveugle et sur l innocent .
moi aussi jai une question,pourquoi des tunisiens sont ils impliques en syrie? .
Mais bonne nouvelle pour vous les ricains se sont porte garant pour les dettes tunisiennes,alors preparer vous ,pour allez peut etre en syrie ou a petaouchnok
Tout sauf ennahda même une nouvelle colonisation sera la bienvenu l’essentiel c’est mettre les barbus sur la touche car le mal qu’ils prépare pour le pays et pour les citoyens est inéstimable.
c’est ennahdha eco les rcdistes BCE lui c’est un doustourien exactement le contraire BCE n’a pas fait bosser ses gendres et ses filles ni les ex rcdistes comme le fait aujourd’hui nahtha mais les menteurs restent toujours des menteurs ….
@Tunis Love, Pour ta gouverne sache que Habib Essid a travaille sous BCE, et que Lajimi comme tu dit a été ecarté par Ennahdha.
Et je ne vois pas comment un vieillard qui a du mal a retrouvé son bureau le matin viendra nous sauvé, pendant qu’il été premier ministre (chef du gouvernement) la situation n’avait pas trop changé, le chomage était le même, le tourismes quasi nul, et a chaque fois qu’on le questionné il hurlait pour dire qu’il lui faut du temps! a chaque discours c’etait plus un one man show que celui d’un premier ministre, insultant les journalistes, se mettant à dos les policiers qui sont supposé être le gant de fer du gouvernement, nommant des ex du RCD et n’arretant pas de nous conté ces récits avec Bourguiba.
@nazou de quel pseudos islamistes tu parles? qui cognaient à l’aveugle? et quand!!! Arrete de défendre ce BCE ! Tout n’est que machination!!
Comme par hasard BCE apparait quand tout va mal alors que tout est parti de rumeurs d’adolescente pucelle decervellé! je suis de la Marsa, et pour ce qui s’est passé à abdelleya c’est des foutaise, les gens disait que la marsa à brulé, que c’etait la pagaille, qu’il ont cassé tous les tableaux et frappés des artistes!! il ne s’est rien passé de tous ca! l’ampleur de leur “desastre” était identique a celui d’un bagarre de deux elève sortant du primaire.
SI je voterais ennahdha c’est juste pour ne pas revoir le RCD au pouvoir!!
Bonjour,
S’il n’y avait que les pour d’un côté et les contre de l’autre, la situation serait certes imprégnée de manichéisme, mais plus claire. Mais les choses sont plus complexes qu’il n’y paraît, voire plus graves: il y a et il y aura des alliances contre-nature, diaboliques et incestueuses. Et c’est notre révolution qui ne cesse d’en pâtir, de se déliter. Camarades, encore un effort pour être révolutionnaires…
et la jeunesse dans tout ça ?
@ JULIEN, bonjour,
jeunesses? vous voulez dire ” cheval de troie”?
Ayant participé à cette réunion je suis surpris du procès d’intention préalable du style les RCD istes se sont arretés de chanter assez de ces bêtises allez demain traiter Ahmed Brahim de suppôt du RCD aussi
Ce n’est pas un procès d’intention, c’est un fait. : )
BCS, c’est infiltré par la brèche provoqué par le sondage qui dit que 42% des tunisien(ne)s regrettent ben ali ( syndrome de stockholm) ou ( yahragni wé nhébou), autrement dit ” châab yéhéb ellâab” .
Selon les politologues, y a tjs une période de nostalgie pour la dictature. ça leur passera, pourvu qu il y ait d’autres choix que la peste ou le choléra…
@Madame Lilia Weslaty, bonjour,
” choisir entre la peste et la choléra” ( qu’allah nous préserve tous ) est un proverbe fataliste, reconnu par une société défaitiste et résigner . ceux et celles qui ne reconnaissent pas qu’après une révolution , une société régresse dans touts les domaines ( social, économique, comportemental…….), c’est qu’ils ont oublier touts ce qu’ils ont étudier en histoire, histoires des révolutions . aussi, la révolution est loin d’être la ” lampe d’aladin” ni “le sésame ouvre toi”, c’est presque un ” démolir pour reconstruire de nouveau” qui nous attend . la majorité des tunisien(ne)s ( pour ne pas dire 99,3% chiffre qu’on nous as fait détester) sont pris au piége par les deux extrême, celui de la religion, qui avec laquel on c’est reconcilié, et le modéré et solide en elle on avait choisi ; et celui d’un autre extrême qui croit qu’on imitant la démarche du “Paon” , une colombe peux le devenir . mais si votre proverbe pourrai être vrais , je choisirai et la peste et la choléra , et, je ferai fi aux otthomans, à la colonisation, à bourguiba et à ben ali .
@ ZIAD, bonjour,
tout à votre honneur de prendre cette position optimiste et naïf( pas dans le sens péjoratif du térme ou de courtisan), mais, est ce que vous êtes au courant de la tournée qu’as effectuer BCS avant l’annonce de cette naissance ( naissance d’un batard) ?
PS : ne laissez pas le désespoir s’emparer de vous , à tel point que vous pouvez imaginer qu’un infime espoir de délivrence des tunisien(ne)s pourais venir d’un certain BCS & CO . qu’on le veuille ou pas, on va galérer quelque dizaines d’années , une opposition forte et loyal envers la république, une bonne gouvernance et société civile forte independante et honnête sont les seuls moyen pour nous mettre sur la bonne voix ( tout est relatif) et il faut pas trop compter sur l’honnêteté des bipèdes, il as réussi à passer outre les lois divines , imaginez ce qu’il peux faire avec les régles qu’il as conçu lui même .
@Elyes : un simple mot je suis pas pour BCE mais je voterais pour l’appelle de tunisie et non pour l’appelle de qatar …autre chose oui monsieur l’ajimi est avec ennahtha et essid aussi ,sans oublier plusieurs personne dans les mairies et les bureaux d’ennahtha était des rcidistes .j’éspère que tu arrête de dire des mensonges …entre les deux appelle 100% tunisien et appelle 100% qatarien :avec moi c’est vite choisit .
Le choix maintenant n’est plus entre tel ou tel parti mais quel moèdele de société nous voulons pour nos enfants ?
Entre le voleur et le tueur moi je choisis le voleur.
@tahar on va simplifier et dire que c une guerre
entre les universalistes et les nationalistes, ok?
d ailleurs on comprend mieux la diffusion du film persipolis pour servir la cause nahdhaouiste.
vu que les laics et les pseudos islamistes servent le meme patron.
Bce et le reste du troupeau réunis sont la garantie par excellence du non pluralisme et de retour de la dictature. Les tunisiennes et les tunisiens ne sont pas sur un chemin de retour en arrière, mais plutôt vers le rupture définitive avec toutes sorte de dictature. la démocratie passera par la voix de la révolution de 17 décembre 2010 qui a brulé la dictature et par la voie de la révolution du 14 janvier 2011 qui l’a enterré. ben Ali harab. Mandhouj Tarek.
mouhtem bjr sauf que les revolutions que vous avez etudie en histoire,ont ete faites dans des pays riches, ou colonisateurs ,alors que nous en tunisie avec 3 orangers,2 oliviers et 4 touristes qui ne viendront probablement pas,je ne vois pas par quel miracle on pourra employer plus de 50%de jeunes sans parle de l education de la sante des fonctionnaires et de tout le merdier qu il faut pour faire tourner ,meme un petit pays comme le notre.
[…] le dernier meeting de Béji Caïd Essebsi, nouveau rassembleur des RCDistes rebaptisés Destouriens, Ennahdha s’est mis en état […]
[…] le dernier meeting de Béji Caïd Essebsi, nouveau rassembleur des RCDistes rebaptisés Destouriens, Ennahdha s’est mis en état […]
L’appel de la tunisie de beji essebsi est un danger pour le peuples tunisiens on fait pas du vieux avec du neuf avec sa bande de corrompu et de dictateurs reviennent soit disons pour remettre la tunisie sur pied c’est honteux leur place est sousterre et pas sur terre c’est le reste d’un concert ils faudra les illiminés un par un BEJI ESSEBSI DEGAGE toi et tes salops dictateurs.
[…] و العدليّة التّستّر على أعوان الأمن المتّهمينsw30 on L’appel de la Tunisie, nouveau parti des deus ex machina RCDTag Cloud14 Janvier A la Une Arabic Assemblée Constituante Ben Ali censure Constitution Dictature […]
Des raccourcis hatifs, si j’ai le choix en RCD et Ennahda, je choisirai RCD sans aucune hésitation. Si dans le passer les RCD ont eu le pouvoir, c’est à cause du peuple tunisien qui a céder le pouvoir, ce n’ai pas la faute des RCD, la révolution du jasmin est une preuve. C’est nous, entant que peuple qui peuvent donner et supprimer le pouvoir.Les gens d’Ennahda cache une agréssivité beaucoup plus importante que celle des RCD. Si les comportement des RCD envers la popolation étaient pour préserver leurs intérêts économique, celle d’Ennahda est gratuite et surtout violente envers les femmes.
Lorsque une partie comme Ennahda prétend être démocratique, comment expliquer le fait qu’ils votent le même président (Ghannouchie) depuis des années. Lorsque on parle de la démocratie, il faut donnée l’exemple au sein même de son partie. comment expliqué les nominations familiales, les salaires exhorbitantes, les membres d’Ennahda qui ont trouvé du travail et qui étaient indemnisés alors que d’autres tunisien sont dans une situation sociale catastrophique.
Je votrez RCD et j’emmerde tous le monde, je n’ai pas envie que nos jeunes filles soient viloées et agrésées.
[…] la montée du nouveau parti Appel de la Tunisie (Nidaa Tounes) de l’ex Ministre Béji Caid Essebsi, destourien (à l’époque de Bourguiba) et RCDiste ( sous […]
Si j’avais le droit d’élire, je voterai AT sans aucune hésitation, rien que pour arrêter cette moquerie incrédible qui continue pour plus d’un an … des gens n’ayant aucune expérience ni politique ni économique et qui ne cessent de rabaisser de la valeur de la Tunisie sur toutes les échelles, et l'”invasion” de l’ambassade des USA n’est qu’une simple illustration à ceci … la Tunisie ne peut plus supporter l’insupportable … que serait la Tunisie après un mandat complet de 5 ans si l’on élit Ennahdha? Réfléchissez bien à cette question et décidez quel parti gagnera votre vote.
[…] ou du cheikh, l’opposition émiettée est indéniablement incapable de changer les choses. La montée de Nidaa Tounes est peut-être une alternative sérieuse pour créer un contre poids à l’hégémonie […]
[…] 12 novembre, le porte parole de Nida Tounes, Ridha Belhaj, annonçait déjà l’intention de l’intégration du parti Nida Tounes […]
[…] effet, après sa déclaration d’un gouvernement sans couleur politique, quelques partis, tels que Nidaa Tounes (L’Appel de la Tunisie), ont commencé à exiger la dissolution de l’Assemblée […]
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[…] parti islamiste Ennahdha s’est détourné des objectifs de la Révolution. Rappelons que le parti Nidaa Tounes a également adoubé le coup d’Etat militaire en Egypte justifiant cela par la perturbation […]
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[…] Sur les anciens membres du RCD au sein de Nidaa Tounes […]
[…] From now on we speak of «destourian,» a term that is well understood to encourage a sort of willing ignorance of the past. Denying, in their silence, affiliation with the former President, it will be instead Habib Bourguiba, the first President of Tunisia, who is evoked to honor «the glory of Tunisia, proud of its accomplishments over the past fifty years.» In addition to the word «RCD,» it will be the name «Ben Ali» that we avoid pronouncing. Lilia Weslaty, Call of Tunisia, new party of the deus ex machina RCD. […]
[…] démocratiques. Comment peuvent-ils l’être alors que l’épine dorsale de Nidaa est formée par des ex-RCD qui, en intégrant ce parti, ont ramené avec eux tout leur « savoir faire » antidémocratique […]
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