Par Mehdi Khodjet El Khil.
A partir des données de la banque mondiale il est possible d’analyser la dette extérieure de la Tunisie comme jamais personne ne nous l’a encore présentée. Le recours à l’endettement d’un état comme la Tunisie est-il une nécessité de principe et un besoin systématique tel que le défend le néolibéralisme ? Ou bien le recours à l’endettement est une réponse à une nécessité d’extrême urgence ? L’endettement est-il une aide ou un frein au développement de la Tunisie?
A. La méthode classique de l’analyse de la dette
Habituellement, les spécialistes économiques présentent l’évolution de l’endettement de la Tunisie en pourcentage du produit intérieur brut (%PIB). L’objectif de cette démarche consiste à intégrer dans l’analyse l’évolution de l’inflation. La banque mondiale elle-même analyse l’évolution de la dette, non pas en % du PIB, mais en % du RNB (Revenu National Brut ou GNI pour Gross National Income, en anglais).
A voir ces graphiques, les spécialistes expliqueront qu’il y a de quoi rester serein! En effet, on pourrait se dire que l’endettement de la Tunisie n’est pas en croissance et même qu’il est en diminution tout au cours de la dernière décennie. On pourrait également se dire que finalement le service de la dette n’a aucun poids sur l’économie du pays puisqu’il représente moins de 10% du PIB ou du RNB. Enfin on pourrait même prétendre que les intérêts sont négligeables et que dans cette situation globale, la Tunisie n’a rien à craindre de son endettement parce qu’il n’y a rien d’excessif. Lorsque l’on voit ce graphique on pourrait se demander pourquoi ne pas continuer à s’endetter?
Oui mais voilà, tout cela est trompeur et ne représente absolument pas la réalité de ce que représente la dette extérieure de la Tunisie, son poids réel sur l’économie ou sur les revenus du peuple tunisien.
B. La méthode alternative d’analyse de la dette
L’analyse qui présente l’évolution de la dette en % du PIB ou du RNB, n’est ni rigoureuse, ni objective. Bien qu’elle soit souvent adoptée pour rendre le débat accessible aux néophytes, elle ne rend service à personne car elle fausse complètement le débat et contribue à divulguer une information biaisée. Cette présentation de la dette (en% du PIB), sous prétexte qu’elle corrige de facto l’inflation, ne rend pas compte de la réelle évolution de l’endettement de la Tunisie (cette remarque est valable pour l’ensemble des pays de la planète !). Elle renseigne uniquement sur la capacité d’un pays à contracter de nouvelles dettes, comme si le recours à l’endettement était une nécessité de principe et un besoin systématique tel que le défend le néolibéralisme. En réalité aucune dette n’est souhaitable. Un pays doit recourir à un endettement uniquement en cas d’extrême nécessité, ce qui est rarement le cas.
Une méthode alternative de présenter l’évolution de la dette extérieure de la Tunisie est de représenter l’évolution du service de la dette en la comparant à l’évolution du capital et des intérêts des créances. Cette façon de procéder nécessite également que l’inflation soit prise en compte pour donner une représentation exacte et non biaisée des tendances que l’on souhaite instruire.
Le service de la dette représente la somme du capital de la créance et de ses intérêts. Il est très simple de les corriger de l’inflation; d’ailleurs l’ensemble de ces données sont fournies par la banque mondiale.. Une fois ce travail accompli, l’analyse comparée du service de la dette, du capital et des intérêts, démontre le recours à un endettement croissant dans sa tendance, particulièrement sur la période comprise entre 1976 et 2007. Cette méthode révèle avec exactitude l’évolution de l’endettement, ce qui n’est pas le cas pour les représentations classiques habituelles.
Comment se fait-il que la Tunisie ait recours à un endettement croissant, alors que le FMI n’a cessé de vanter le miracle économique tunisien et de présenter le pays comme un exemple à suivre partout en Afrique et en particulier au Maghreb ? Un miracle économique ne devrait-il pas affranchir un pays de son endettement et le rendre financièrement autonome et souverain? La réponse réside dans le fait que le miracle était un mirage : Si la Tunisie a connu une période de croissance soutenue c’est parce qu’elle s’est financée au travers d’un endettement soutenu qui, non seulement créé le mirage de la croissance, mais au contraire est de nature contreproductive comme nous le montrerons au fil de cet article.
Pour analyser de manière objective et rigoureuse ce que représente l’endettement de la Tunisie, il convient d’étudier l’évolution du stock de la dette avec et sans les intérêts. Mais qu’est-ce que le stock de la dette, me diriez-vous ? Le stock de la dette comprend l’encours (dette due non échue), les arriérés (dette due et échue mais non payée) en capital et en intérêts, ainsi que les intérêts de retard. Pour faire simple, le stock de la dette est la somme d’argent qu’il reste à payer pour honorer ses emprunts vis-à-vis de ses créanciers. Sur les graphiques suivants, il a donc été comparé l’évolution du stock de la dette entre 1970 et 2009, en faisant la distinction entre le stock avec les intérêts et le stock sans les intérêts. Le premier graphique représente ces données en % PIB, le second en dinars tunisiens.
L’évolution du stock de la dette (avec et sans les intérêts) exprimé en % du PIB, ne permet pas d’évaluer une tendance, ni de constater les valeurs réelle. Nous allons donc nous pencher sur la représentation alternative de l’évolution du stock de la dette (avec et sans les intérêts) exprimé en Dinars Tunisien. En bleu : la courbe de l’évolution du stock de la dette, avec les intérêts, réclamé par les créancièrs années après année. En rouge : la courbe de ce que serait la dette extérieure de la Tunisie si elle avait été exemptée des intérêts. On peut alors constater, pour l’année 2009, que les créanciers réclament à la Tunisie 28 426,7MTND de dette dont 8 802,7 MTND (30,97% du stock de la dette) pour le capital et 19 623,9 MTND (69.03% du stock de la dette) pour les intérêts.
C. L’enjeu des intérêts dans la dette
Avec la méthode alternative, on peut prendre conscience de l’évolution réelle du stock de la dette et s’apercevoir alors de la différence qu’apporte le paiement des intérêts sur celle-ci en l’évaluant en TND plutôt qu’en %. La différence est immense : En 2009, La Tunisie devait payer 2,23 fois le capital de sa créance uniquement pour honorer les intérêts sur sa dette; autrement dit, sur les 40 dernières années, les intérêts ont englouti plus de deux fois la somme qui a été prêtée à la Tunisie. Comment dans ces conditions peut-on dire que l’endettement d’un pays permet son développement ? L’endettement est un outil pour spolier les économies et les richesses d’un pays, par l’intermédiaire des intérêts qui sont appliqués par les créanciers et qui s’enrichissent avec, à chaque nouvelle dette contractée.
Il est possible de visualiser l’évolution du coût des intérêts, année après année, en étudiant le graphique n°2 : L’analyse comparée du service de la dette, du capital et des intérêts.
Grace à la méthode d’analyse alternative, on est en mesure de s’apercevoir que sur la période comprise entre 1976 et 2009, les intérêts payés représentent approximativement 60% du capital de la dette extérieure contractée par la Tunisie. Autrement dit, pour 100 dinars empruntés, 160 dinars sont remboursés, soit 100 dinars pour le capital et 60 dinars pour les intérêts ! C’est tout simplement extravagant et ça dure depuis 40 ans !
Mais comment estimer encore plus précisément le rôle que jouent les intérêts dans le service de la dette extérieure de la Tunisie? Pour répondre à cette question, il est judicieux de calculer et de visualiser les cumuls depuis 1970 à 2009 du capital, des intérêts et du service de la dette !
Ce graphique démontre que, pour un endettement continu et régulier, les paiements des intérêts évoluent plus vite que le capital et par conséquent, plus vite que le service de la dette dans son ensemble. Cette affirmation peut être vérifiée en comparant les trois équations de tendance qui accompagnent chacune des trois courbes des cumuls. Autrement dit, les sommes payées pour honorer les intérêts seront à terme et mathématiquement plus importantes que les sommes payées pour rembourser le capital. Ceci explique pourquoi la Tunisie doit payer près de deux fois le montant du capital de sa dette uniquement pour honorer les intérêts qui lui sont appliqués. Ainsi l’endettement, sous sa forme actuelle, n’a jamais servi le développement de la Tunisie, mais il a servi à la spolier par le biais des contrats bancaires privés et des intérêts qui lui ont été appliqués.
La seule chose qui empêche le système financier actuel de s’écrouler c’est l’emprunt défensif : c’est à dire emprunter mécaniquement encore plus vite que ce que coute les intérêts pour arriver à payer le stock de la dette. C’est ainsi que la Tunisie court directement au surendettement car son économie a été et est encore basée sur la dette pour son développement plutôt que sur l’investissement intérieur.
D. Le poids des intérêts sur l’économie nationale
On peut encore se poser bien des questions ; par exemple, quel est le poids réel de la dette sur l’économie Tunisienne ? Pour cela on peut étudier la loi de finance pour l’exercice 2011, le dernier héritage laissé par la dictature de Ben Ali. Je vous renvoie au précèdent article du groupe de réflexion sur la dette tunisienne publié sur notre blog, ici : http://dettetunisie.over-blog.com/categorie-11860457.html
Plus en amont dans cette article, nous avons démontré que pour l’année 2009, les créanciers réclament à la Tunisie 19 623,9 MTND (69.03% du stock de la dette) d’intérêts sur la dette extérieure du pays. Mais quels est la somme des intérêts qui ont déjà était payé depuis 1990 (3 ans après la survenue de la dictature) et que représente le poids de ses intérêts par rapport aux dépense de l’état ?
Si l’on compare le cumul des paiements des intérêts de la dette depuis 1990 à 2009, on s’aperçoit qu’il dépasse les dépenses réalisé par l’état et ce depuis 1998. Ceci illustre le frein au développement que représente le paiement des seuls intérêts de la dette extérieure sur les investissements intérieurs qu’aurait pu être réalisé par l’état tunisien. Depuis, 1990, année initiale correspondant à l’existence des données de dépenses de l’état à la banque mondiale, la Tunisie a payé 16 715,7 MTND pour le paiement des intérêts uniquement. Je vous laisse imaginer les investissements au profit du peuple tunisien qui aurait dû être réalisés avec cette somme, sans engendrer de nouvel endettement.
E. Conclusion :
La politique néolibérale imposée à la Tunisie depuis l’instauration en 1987 de la dictature de Ben Ali, a accéléré l’endettement du pays au point de le rendre quasi-dépendant des créanciers par le truchement des intérêts. L’accélération de l’endettement a conduit au faux miracle économique que nous connaissons par la mise en place du mirage de la croissance basé sur la dette et non sur la réelle économie. Ainsi la dette reste encore aujourd’hui un frein au développement de notre pays. L’annulation de la part odieuse et illégitime pourra nous affranchir d’une partie de celle-ci. Ce droit est un fait qui permettra aux tunisiens de relever aussi bien la tête que l’économie du pays. Mais au-delà de cette démarche légitime, il est bon de redéfinir nos besoins et nos orientations économiques. Le recours à un endettement doit être justifié non par principe, mais en priorité par des valeurs de souveraineté, d’autogestion et d’autodétermination. Nous devons prendre conscience que les intérêts de nos créances sont un fardeau pour l’investissement intérieur et qu’ils contribuent à l’appauvrissement. Le recours à la dette doit rester une nécessité d’extrême urgence et non une solution de facilité dont les conséquences malheureuses seront payées par nos enfants ! D’autres pays ont déjà pris les devants du problème…
Et après !
Belle analyse monétaire.
Je ne suis pas facorable au néolibéralisme ! et apparement vous non plus, mais vôtre analyse montre qu’on est “dans la merde” jusqu’au cou.
C’est énorme de payer 69 % de taux d’intérêts !!
Il serait temps de renogocier ces énormes sommes qui plombent notre économie et la plombera pendant des décennies si on ne fait rien. Je pense que les coûts d’emprunts aujourd’hui sont plus faible qu’il ne l’étaient.
Une autre piste à étudier : transformer cette dette en développement économique : accorder des concessions (sur 30 , 40, 50 voir 90 ans) pour l’exploitation de grand projet d’infrastructure nécessaire à la tunisie mais trop chère.
Exemple : autoroutes, lignes de chemin de fer pour TGV, grand port martitime.
Les intérêts ainsi payés, seront légitimes, d’un coté, par la rémunération du capital investi, et une autre partie par la rémunération du travail (ainsi donné pour pouvoir rembourser la dette).
Ainsi nos créanciers s’engagent à travailler( investir) en Tunisie (donc contribuer au développment économique du pays) s’ils veulent un jour éspérer récouvrir leurs créances.
“Ainsi nos créanciers s’engagent à travailler( investir) en Tunisie (donc contribuer au développment économique du pays) s’ils veulent un jour éspérer récouvrir leurs créances.”
Si on demande à nos créanciers de venir pour ensuite ” espérer” recouvrir leurs créances, je doute fort qu’ils viennent…On les appellerait plus “créanciers” mais investisseurs …
Ce n’est pas aux créanciers (autres états) d’investir dans tel ou tel secteur/activité mais bien à l’état tunisien de bien faire son travail avec l’argent qu’on lui prête.
Une partie de cette dette est obligatoire pour le fonctionnement de l’état et de ces institutions, ceci n’empêche pas le fait qu’elle serve mieux ou plus judicieusement les intérêts nationaux à long terme.
@ memoire_vive,
La première des choses est de demander la suspension du paiement de cette dette qui doit s’effectuer en Avril. Je dis bien suspension. Car la plus grande des priorités est de mettre en place un audit citoyen qui va justement analyser cette énorme dette pour juger la partie illégitime, c’est la dette odieuse (voir sur wiki). Une fois cet audit effectué, nous en saurons beaucoup plus sur l’utilisation et l’utilité de cette dette.
Une pétition est en cours, et il faut mobiliser les tunisiens d’abord.
Pétition: http://blogs.mediapart.fr/edition/revolutions-dans-le-monde-arabe/article/040411/plus-de-50-deputes-europeens-soutiennent
Je vous invite tous à visiter le site d’où provient cette étude, vraiment éclairant. C’est un débat très important.
http://dettetunisie.over-blog.com/
Bonjour,
Venant de France, quand tu passes 1semaine en vacances en Tunisie, dans un hôtel au bord l’eau, pour 300 Euros tout compris, il ne faut pas s’étonner que le tunisien ce soit endetter. Il est évident que ce tarif ne tient pas compte du coup réel de la vie sur place!
Alors quoi?! on commence par se protéger et se faire respecter!!! Ou on continue à dérouler le tapis rouge aux touristes…en servant de tapis?! Non, exigeons de leur part une contribution à la hauteur du bonheur qu’il peuvent trouver sur place et du service rendu?!
Dans cette arnaque touristique, les tours opérateurs en France sont(étaient) complices de l’état, ces prix tirés vers le bas à outrance obligent les prestataires touristiques tunisiens à sous payer leurs employés, entretenir le travail au noir, on l’oublie, mais beaucoup d’entre eux ont fait faillite car ils ne pouvaient plus rembourser leurs crédits.
Ceci dit, comme je l’ai préconisé dans un autre commentaire sur la dette extérieure de la Tunisie…faites comme les Irlandais, ne payez rien!
en TUNISIE peut changer 100 EUR par 500 DTN
Oui( c’est un tarif préférentiel…?) Touristiquement parlant il faudrait pouvoir interdire la dégradation des milieux naturels et envoyer 15 000 000 d’émails à l’UNESCO, pour classer 75% de la Tunisie au moins au patrimoine historique de l’humanité!
c’ est pas la peine d’écrire a l’Unesco si vous n’écrivez pas aussi que le pays a déclassé les terrains classés de Carthage, pour ces terrains de Carthage vez vous pétitionné moi oui!
@Mehdi Khodget Elkhil,
BONJOUR,
Bon article, bonnne analysation, mais Mr. Mehdi je ne ne vois plus des solutions RADICALE :
-NON NON pas de nouveau credits ,les TUNISIEN font un nouveau TUNISIE stabile,un nouveau processus LES TUNISIENS DOIT jamais donner de l’argent ou EXCHANGE au banques TUN.il faut boycotter l’economie TUNISIENNE .
– il faut annuler le DINARD DNT immidiatement et le changer par un NOUVEAU pieces (NEW CURRENCY) CARTAGIEN =CTG) comme au bon vieux temp.
-il faut annuler les dettes exterieures c- un SYS de HEDGE FOND (engel saxon)
*IL FAUT BOYCOTTER IMMIDIATEMENT LE SYS BANCAIRE EN TUNISIE :
* ” Chaque fois qu’une banque accorde un pret, un nouveau credit bancaire est cree’ de nouveaux depots (avec chapeau) de l’argent entierement nouveau ” GRAHAM F.TOWERS. DG Banque du CAN.1934-54)
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svoir plus D’ou vient l’argent ? et oublier la fabrication du DEVISE = TOURISME = pour la FUITE vers DUBAI ?
On peut déja rapatrier l’argent spolié par la mafia Dracula-Trabelsi.Faire un peu de protectionnisme nous ferait pas de tort, non plus:Freiner les importations inutiles (quotas, taxes…), encourager les exportations (baisse impôts…), imposer des normes techniques et sanitaires aux importateurs, réformer le code de marché public pour faire acheter tout ce qui est produit localement, manipuler les taux de change, baisser les impôts des sociétés…Tout le monde le fait, pourquoi pas nous?
Ton idée tombe sous le sens, les riches placent leur argent à l’étranger, mais demander le rapatriement des ces sommes équivaut à se faire un bandage sur une plaie en espérant qu’elle se soigne par elle même…autrement dit, ça prend du temps.
Il faudrait avoir le courage des Irlandais et refuser dans un premier temps de rembourser quoique ce soit au FFMI notre créancier à tous, avec cette rhétorique de Fennec du désert : – désolé, nous n’avons pas de président actuellement, nous ne pouvons donc endosser cette responsabilité de remboursement de quelque dette que ce soit –
Vous avez raison, il faut faire des concessions inévitablement.Et boycotter toutes ces propositions FMI et autres institutions qui nous plongeraient encore plus dans le chaos.
@Judas
Bonjour,
l’Economie TUN.sera plus developper:
– 36 entreprises etranges’ ont quitte’ la TUNISIE
– pour nouveau invstissement pas de confiance
– ce qui ont releve’ grande propiete’ et la richesse de la beaute’ leur revenu dans 4 contnants ,et il suppose’ aussi que qlq.de ces Mafieux ont quitte’ la TUNISIE apres le 14 JAN !!!
– j’accuse le GOV. TUN.depuis 2 jours voitures de LUXE ont tranporter de port de RADES vers TRIPOLIS pour que Kaddafi l’offrir pour ces BALTAGIA
*comment s’attendant pour des enquetes manipuler par l’Etat,Police et la Justice ???
de mon avis:
* BOYCOTTAGE L’ECONOMIE TUNISIENNE
* UN NOUVEAU SYS. Monitaire et ANNULATION le DINARD DNT par (NEW CURRENCY)= CARTAGIEN (CTG)
Dommage qu’on ne comprenne rien à ce que tu dis…
A part 2/3 grosses conneries ( et le mot est faible ) comme “Boycottage de l’économie tunisienne”…
Bonjour l’ami.Vous avez raison.Rétablir la confiance doit être une priorité.Et aussi avoir une politique totalement indépendante de l’extérieur.Car c’est l’étranger et surtout l’occident qui joue un petit jeu occulte au sein de la sphère politique tunisienne.Nous devons retrouver une certaine souveraineté.
Je suis tout à fait d’accord avec toi Hole sur ce point.
Les banques et le système économique est très fragile, je suis pas sure qu’ils sont dans une position très comfortable pour négocier.
S’ils ne rendent pas l’argent qu’ils ont volé, je ne vois pas pourquoi rembourser les dettes.
http://www.alternatives-economiques.fr/dettes-publiques-nbsp—comment-ne-pas-payer_fr_art_1079_53497.html
Ne surtout pas faire de prêt au FMI, c’est votre droit de réclamer cet argent de retour, pourquoi l’emprunter si ce n’est que pour devoir par après rembourser le double avec intérêt, c’est exactement ce qu’ils veulent et ca voudrais dire que le peuple devra travailler quatre fois plus pour gagner quatre fois moins. Donc, c’est pas une solution, si les irlandais paient pas alors les tunisiens non plus, c’est ca le monde des affaires
Bravo! (pour une fois)
“La politique néolibérale imposée à la Tunisie depuis l’instauration en 1987 de la dictature de Ben Ali, à accéléré l’endettement du pays au point de le rendre quasi-dépendant des créanciers par le truchement des intérêts. ”
Dommage.
J’ai commencé par la conclusion et je tombe sur cette chose !!!!??. Vous commencez votre conclusion par accuser de façon idéologique et totalement parachuté le néolibéralisme d’être la cause de la situation d’endettement actuelle.
En faite, avant même de parler de relation de cause à affet, dire que la politique de la Tunisie est néolibérale est déjà une aberration économique.
voir classement ici : http://heritage.org/index/ranking
Pourtant la cause que vous défendez (dette odieuse:http://www.cadtm.org/Lettre-au-gouverneur-de-la-Banque ) est bonne et l’article semblait interessant.Voila comment on sabote une bonne cause en la rendant non crédible.
Vraiment dommage.
http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9olib%C3%A9ralisme#Les_politiques_.C2.AB_n.C3.A9olib.C3.A9rales_.C2.BB
Il me semble que la privatisation des entreprises les plus rentables, l’abaissement des taxes, le fait de permettre aux entreprises étrangères de rapatrier leur bénéfice sans ré-investir dans le pays, sont des politiques néolibérales non ?
Votre classement est un classement destiné aux investisseurs dont le but est de trouver des investissements les plus rentables possible car ils croulent sous les capitaux et ne savent plus quoi en faire. La Tunisie est un bon débouché, une main d’oeuvre qualifié et pas chère payée donc rentable pour le capital, le ROE. Bref, tout est question de point de vue. Point de vue capital, point de vue travailleur. chacun utilise ses indicateurs…
@ néoliberal,
Le recours à la dette par principe plus que par nécessité est bien une politique néolibérale soutenue par le FMI et la BM, elle prends racine dans cette idéologie qui est imposée à la Tunisie et que le peuple n’a jamais choisi de manière souveraine
Mehdi khodjet el khil
Vous confondez tout.
Le libéralisme n’est ni de droite ni de gauche. Il implique acceptation des règles du marché mais n’interdit en rien une réglementation de l’économie afin d’atteindre des objectifs sociaux. Vous remarquerez que les pays scandinaves sont tous mieux classés que le france ou l’italie.
Le libéralisme puise sa source dans la science économique et ses théorèmes. le Libéralisme est apolitique, contrairement au capitalisme, au socialisme et communisme. Le libéralisme prône la bonne gestion, sur des bases rigoureuses.
Le recours à la dette n’a jamais été une politique libérale. la privatisation des entreprises les plus rentables, l’abaissement des taxes, le fait de permettre aux entreprises étrangères de rapatrier leur bénéfice sans ré-investir dans le pays n’est pas non plus une politique libérale. Mais si par idéologie, vous appelez tout ce que vous n’aimez pas libéral alors on ne pourra pas avancer.
Le libéralisme est désormais la règle du jeu de l’économie mondiale.Si nous ne savons pas y jouer ou que nous voulions jouer à un autre jeu alors on aura une économie de merde.
Pour faire court, y a t il un pays sur cette planete que nous pourrions prendre comme modèle économique d’après vous ? Si oui, regardez son classement et répondez moi. Si non alors je vous dis tout de suite que vous êtes de dangereux utopistes.
Pour moi, la Tunisie est capitaliste, non libérale. Elle sait si mal jouer au libéralisme qu’elle mérite amplement son classement de 100 eme.Ragardez encore le classement et les pays et dites moi franchement dans quel sens vous voulez aller ?
Désolé: le fait de permettre aux entreprises étrangères de rapatrier leur bénéfice, c’est bien libéral. le bénéfice c’est leur pognon et ils en font ce qu’ils veulent. C’est déjà bien qu’ils font travailler des tunisiens. Ce qu’il faudrait c’est qu’ils ne fassent pas que faire travailler les bas salaires.
Si vous les empêchez de rapatrier leurs bébéfices, je me demande pourquoi vous voudriez qu’ils viennent ? par amour peut être ?
@Neo liberal, vous avez pas bien compris les propos de l’ami Khodjet
Il faut promouvoir les investissements et l’emploi, c’est certain mais avec un minimum de régulation pour éviter le cas que l’on a connu il y’a qques années du NASDAQ
Merci Sou, mais je crois avoir compris ce que veut dire l’auteur.
Une juste cause comme la dette ne doit pas être un attrape nigaud pour les gauchisants. Trop de gens confondent libéralisme et capitalisme et la plupart du temps de bonne foi (ce qui est très probablement le cas de l’auteur). Dès qu’il y a un voleur en col blanc on accuse en bloc tous les non gauchisants.
Pour la dette, je suis d’avis de considérer que tout bailleur de fonds qui, comme suivi de ces engagements, s’est contenté de la garantie du peuple tunisien sachant qu’il était sous dictature est complice de celle ci.
Ceux qui se sont assurés que leur engagements ont réellement bénéficié au peuple sont à rembourser.
D’où le principe de l’audit de la dette. On n’est quand même pas des arnaqueurs.
Merci Neo pour votre réponse. Je faisais référence au cas de madoff, un des plus grand fondateur de société d’investissement à la bourse qui s’est a été jugé pour 150 ans de prison pour fraude
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Madoff#Arrestation_et_proc.C3.A8s
S’il a été condamné de ses actes de corruption, je ne vois pourquoi est ce qu’on fera une exception pour les autres, la loi est valable pour tous non?
@neo liberal:
Si vous êtes pour un audit de la dette, c’est que vous avez tout compris à l’intérêt de la campagne.
Merci
Pour lire les analyses effectuées sur la dette, consultez le site :
http://dettetunisie.over-blog.com/
Merci pour l’info
Les quatre mesures préconisées par le comité pour l’annulation de la dette (CADTM)
par Mamadou Sarr
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=23217
Pour éviter de retomber dans un nouveau processus de réendettement, les pays africains devraient se conformer aux quatre recommandations du Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde (CADTM http://www.cadtm.org ). A savoir ne plus brader leurs ressources naturelles, renationaliser les entreprises privées, engager une réforme fiscale pour que les riches paient proportionnellement à leurs richesses et rapatrier les biens mal acquis.
Une fois qu’on a des allégements ou effacements de dettes, comment les pays en développement peuvent-ils éviter de retomber dans un nouveau processus de réendettement ?
A cette question, Eric Toussaint, président du Comité pour l’annulation de la dette (Cadtm), propose quatre mesures concrètes. La première de toutes, c’est d’éviter de brader ses ressources naturelles.
‘La plupart des pays en développement, et les pays africains ne font pas exception, bradent leurs ressources naturelles avec les anciens pays colonisateurs. Mais il y a un nouvel acteur qu’est la Chine qui vient avec des conditions moins draconiennes que les anciennes puissances coloniales, mais qui est très gourmand en terme de ressources naturelles. La Chine signe des contrats de dix ans à quinze ans avec garantie de fourniture de volumes extrêmement élevés de ressources naturelles à puiser dans le système’.
Selon M. Toussaint, cela veut dire très concrètement ‘qu’il faut remettre à plat tous les contrats. Et c’est cela que le gouvernement du président Evo Morales qui est venu prendre la parole au Forum social mondial, est venu dire aux participants et c’est ce qu’il a fait chez lui.
Il a renégocié systématiquement tous les contrats avec les transnationales qui exploitent les ressources naturelles. L’effet de cela c’est que la Bolivie a multiplié par cinq ses recettes budgétaires.
C’est-à-dire qu’elle n’a pas eu besoin de financement auprès de la Banque mondiale et du Fmi parce qu’il y avait des recettes en monnaies sonnantes et trébuchantes qui rentraient dans les caisses’.
Le deuxième conseil d’Eric Toussaint aux pays en développement qui veulent échapper à un nouveau cycle d’endettement, c’est de ‘renationaliser les entreprises privatisées à tour de bras’. En troisième lieu, il faut une réforme fiscale.
‘Les politiques fiscales dans les pays en développement, dans les pays africains qui sont largement dictées par le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, consistent à réduire au minimum les taxes payées par les transnationales sur leur profit, par les riches qui gagnent des revenus élevés.
Et ce que font les gouvernements sur recommandations de la Banque mondiale et du Fonds monétaire, c’est d’augmenter la Taxe sur la valeur ajoutée (Tva) qui est l’impôt le plus impopulaire et le plus injuste’.
Et de citer l’exemple des 80 % des familles sénégalaises qui consacrent 90 % de leurs revenus à la consommation courante et qui paient une Tva de 18 %, tandis que les riches qui consacrent 10 % de leurs revenus mensuels à la consommation, paient 18 %. Mais 18 % sur 10 % fait moins de 2 %. Pour le président du Cadtm, il faut une réforme fiscale pour que les riches paient proportionnellement à leurs richesses.
Last but not least, la quatrième mesure à prendre par les pays africains, c’est, selon toujours Eric Toussaint, de ‘rapatrier les biens mal acquis. Des richesses extrêmement importantes sous la forme de dépôts en liquide ont été déposées dans les banques occidentales pendant des années par les élites africaines.
Nous avons fait le calcul au niveau du Cadtm : rien qu’en dépôt liquide des résidants en Afrique dans les banques du Nord est trois fois le montant de la dette externe totale de l’Afrique qui est 134 milliards de dollars. Vous pouvez trouver cela dans les rapports trimestriels de la Banque des règlements internationaux basée à Bâle, en Suisse’, lance-t-il.
Comment les pays créanciers décident en République Démocratique du Congo
par Renaud Vivien et Danien Millet
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=16335
Le Club de Paris prouve une fois encore qu’il est une instance gouvernée par le Nord dans laquelle les pays du Sud ne jouent qu’un rôle de figurant …….
Non mais vous vous rendez-compte de ce que vous racontez ??
La dette pour un pays est normale, ce qui est important c’est qu’elle ne dépasse pas un seuil bien déterminé et n’étouffe pas l’investissement interieur.
C’est pour cela qu’il est urgent que l’économie nationale reprenne: il faut tôt ou tard que les investissements étrangers reviennent au pays, que les tunisiens se mettent à travailler, que l’Etat investisse judicieusement les sommes empruntées.
Plus vite l’économie reprendra, plus on aura de chances de rattraper des points de croissance et si on arrive à atteindre 6/8% le chômage baissera, et on remboursera plus vite nos dettes.
Le problème n’est pas l’économie libérale, mais la redistribution des richesses par la suite des gains : c’est à l’Etat via l’impôt à veiller à cela.
C’est à l’Etat à garantir à ce qu’il n’y ai pas de dégats sociaux, écologiques, politiques en veillant à mettre en place et à appliquer des lois appropriées.
En tant que petit pays nous n’avons pas d’autre choix que l’ouverture aux autres pays. Ceci dit, cela ne devra jamais se faire aux dépens des sociétés nationales, du bien-être des tunisiens et/ou des richesses nationales.
Anis,
Dois-je vous rappeler ce qu’ont fait les investisseurs étrangers durant la crise asiatique de de 1998 ? A la moindre secousse, ils ont fuit et ont totalement écroulé les pays dépendants d’eux, la Thailande en est un exemple. Le but, justement, est de dépendre le moins possible de l’étranger. Tout est question de priorité. L’investissement étranger oui, mais l’investissement responsable et non celui qui ne cherche que la rentabilité à tout prix, à court terme quitte à pressuriser la masse salariale par n’importe quel prix. Il faut responsabiliser les investisseurs et c’est pas en leur courant derrière qu’on pourra négocier leur responsabilisation. Et puis, des investisseurs tunisiens, il y en a aussi, ayez confiance en eux !
tu dis de la m…, relis la grande desillusion de stiglitz et tu comprendras peut etre.
le probleme c’est pas les investissements etrangers, c’est les flux d’investissement court termes (en gros les fonds spéculatifs, ceux qui jouent avec le capital, qui achetent et vendent a la minute, voire a la seconde), ces gens la speculent, font de tres gros benefices sur des operations, ils ne cherchent pas a investir ou faire des affaires, seulement a faire du benefice. et lorsque le climat financier se degrade, ils fuient a l’etranger, ce qui aggrave la situation financiere du pays puisque les acteurs economiques ont encore plus de difficultés pour trouver de l’investissement.
les pays qui ont le mieux réussi en asie sont ceux qui ont bloqués ou controlé les flux d’investissement etrangers court terme, ce qui reduit le risque de destabilisation du secteur financier national.
Vu que tu me tutoies et que tu oses dire que je dis de la merde, il se trouve que j’ai aussi lu le livre dont tu parles.
Tu dis :”le probleme c’est pas les investissements etrangers, c’est les flux d’investissement court termes (en gros les fonds spéculatifs, ceux qui jouent avec le capital, qui achetent et vendent a la minute, voire a la seconde), ces gens la speculent, font de tres gros benefices sur des operations, ils ne cherchent pas a investir ou faire des affaires, seulement a faire du benefice. et lorsque le climat financier se degrade, ils fuient a l’etranger, ce qui aggrave la situation financiere du pays puisque les acteurs economiques ont encore plus de difficultés pour trouver de l’investissement.”
Je dis:”L’investissement étranger oui, mais l’investissement responsable et non celui qui ne cherche que la rentabilité à tout prix, à court terme quitte à pressuriser la masse salariale par n’importe quel prix”.
On parle bien des mêmes hein ? A part si les fonds spéculatifs dont tu parles étaient des fonds thaïlandais, LOL, il s’agissait bien d’investisseurs étrangers, non responsables certes. Donc je ne vois pas pourquoi tu t’excites?
Oui c’est vraie vous avez présenter la dette de la Tunisie comme jamais personne ne la présentée.
D’abors on emploi le terme créance dû et non créances réclamée: une créance est légétimement dû.
vous avez posé une question dans votre article intéressante:”Comment se fait-il que la Tunisie ait recours à un endettement croissant?” et vous avez donné également la réponse:”Si la Tunisie a connu une période de croissance soutenue c’est parce qu’elle s’est financée au travers d’un endettement soutenu”
mais je vais vous répondre en trois points:
1er point
Cher Mr: on compare toujour une dette en relatif et non en absolu c’est à dire en % et non en unité monétaire.
Un petit commerçant qui ouvre une boutique d’épicerie aura besoin de 1000 DT pour fianncer les achats nécéssaires. il doit rembourser pendant une année compte tenu des intéréts 110 DT par mois pendant une année. c’est tout a fait logique puisque il assure des recettes mensuelle de 200 DT par mois.
Le même commerçant a décider après 10 ans de s’aggrandir et décide d’ouvrir on va dire un super marché, il a besoin d’un crédit de 1 million de Dinars pour un taux d’intérêt de 10% sur 10 ans. on va dire qu’il remboursera 120 milles dinars par an parce que ses recette annuelles équivalent de RDBN pour un pays)seront de l’ordre de 200 milles dinars par an.
Est ce que vous comparer l’endettement du petit commerçant avec celui de l’hypermarché en absolu dans le temps: la réponse est biensur que non parceque la capacité de générer du cash n’est pas la même et il sera faux de dire que la dette est passé de 1000 dt à 100 000 dt: donc on rapporte la dette par rapport au revenus générés.
2ème points
mais pourquoi notre commerçant ou l’hyper marché s’ebdette. Est bien tout simplement parcequ’il génère une rentabilité supérieur au coût de la dette.
Pour le commercant la rentabilité est de 200d/1000 = 20% et le coût de la dette (attention non pas le cumul de la dette) est le taux d’intérêt 10% (attention le cumul des intérêt à payer pour le commerçant est 100 dt x 12 = 1200 dt, on ne peut pas rappoter 1200 sur 1000. Tant que la rentabilité d’exploitation est supérieur au coût de la dette on se permet de s’endetter. Pour la Tunisie vous aurai à comparer la croissance du RNDB avec le coût de la dette et je dis bien le coût de la dette ce qui me ramène au 3 poins
3ème points
quant vous prenez un crédit immobilier de 100 mille dinars pour acheter un appartement aux taux de 10% rembousable pendant 20 ans.
vous aller payer chaque année pendant 20 ans à la banque par exemple 20 mille dinars en capital et intérêt on va dire 12 mille dianrs en capital et 8 mille dinars en intérêt.
si vous faites le calcul combien vous aller payer d’intérêt pendant 20 ans et bien c’est 8000 x 20 = 160 milles dianrs soit plus que le capital initial et c’est logique.
Donc quant vous rapporter 160 par rapport 100 c’est 1,6 fois. Cher Mr il faut faire la distinction entre une varible de flux et une variable de stock encore faut il faire la distinction entre le coût de la dette ( taux d’intérêt) et votre ratio (cumul des intérêt/capital emprunté).
Je vous invite à lire le dernier rapport de fitchrating qui a abaissé récemment la note de la Tunisie et je vous assure que rien d’alarmant de ce que vous dites.
Moez
@ fils de hannibal
1er point,
Vous dite: « on compare toujour une dette en relatif et non en absolu c’est à dire en % et non en unité monétaire »
L’objectif de cet article est bien de ne pas faire comme toujours et de démontrer que la manière habituelle ne rends pas compte de l’évolution du recours à la dette, ce qu’une expression en % de PIB ne renseigne absolument pas. On peut tout à fait comparer l’hypermarché au petit commerçant à partir des montant en dinars car c’est le seul moyen d’obtenir le % de variation (accroissement ou décroissance des emprunts) réelle du recours à l’endettement et ce quel que soit les montants
2ème points
Vous dite : « mais pourquoi notre commerçant ou l’hyper marché s’ebdette. Est bien tout simplement parcequ’il génère une rentabilité supérieur au coût de la dette. »
Si le commerçant à recours à la dette s’est parce qu’il espère engendrer plus de profits, mais absolument rien ne le lui garantit, c’est de l’anticipation hypothétique. S’il se trompe, il perd son commerce et son supermarché passe du rêve au cauchemar.
3ème points
Vous dites : « si vous faites le calcul combien vous aller payer d’intérêt pendant 20 ans et bien c’est 8000 x 20 = 160 milles dianrs soit plus que le capital initial et c’est logique »
C’est bien avec cette logique que la Tunisie se fait spolier et c’est bien cette logique que je critique. Elle n’a rien de normale, elle est uniquement comptable, il serait temps de changer les choses. Lorsque vous achetez une voiture à crédit, le montant total des intérêts à payer pour honorer le crédit est fixé au départ et n’évolue pas dans le temps.
Enfin, je vous réponds que l’abaissement de la note de la Tunisie n’est absolument liée à sa capacité d’honorer sa dette, mais elle vient sanctionner un peuple qui s’est débarrassé d’une dictature et qui aspire à la démocratie. Les agences de notation considèrent qu’une dictature est plus garante de stabilité politique que ce que peut être une démocratie. L’abaissement de la note est un acte de terrorisme économique et politique
cordialement
Mehdi khodjet el khil
Lisez les rapport des agences de notation. Sur le court terme elles ont peur des dégâts, sur le long terme, le départ de Ben Ali est une bénédiction. Ne parlez pas dans le vide svp.
@ Citoyen tunisien, et aux autres :
Je dis bien nos créanciers,et je dis pas investisseurs et je désigne par cela ceux qui détiennent déja aujourd’hui sur nous des titres de créances déja engagés depuis l’ère de Bourguiba et de Ben ALI.
Je donne un exemple: Aujourd’hui et d’après l’analyse donné par l’auteur de l’article : Un créancier qui détient 100 M de $ de dette sur la Tunisie, seul 31 M de $ représentent le principal, les 69 autres M de $ représentent des intérêts.
Lorsque on emprunte de l’argent pour finacncer un projet, il faut que le projet soit suffisament rentable pour pouvoir rembourser le principal et les intérêts et il faut en plus qu’il dégage un bénefice pour pouvoir vivre, sinon c’est pas la peine d’engager le projet.
C’est ce qu’essayent de démontrer nos créanciers en complicité avec nos gouvernements. Les projets en Tunisie ont été largement syphonnés par la corruption et sur pas mal d’entre eux mal géré, mal étudié, mal préparé, en plus des aléas et conjonctures exogènes qui puvent atteindre n’importe qu’elle économie du monde ==> Tous ça conjugés ensemble donne un résultat pas très rose comme le prévoit les études préalables des soit disants experts tunisiens ou étrangers ===> Ceci provoque souvent une incapacité de rembourser la dette et provoque d’etablir par les créanciers d’interêts sur les interêts et des intérêts de retard et des prets pour rembourser d’autres prêts etc…ceci dans un cercle infernal, jusqu’a la faillite… ou l’obligation de se mettre de Facto sous l’autorité de nos créanciers ( volet absent dans l’analyse de l’article de M.Mehdi Khodjet El Khil, j’éspère que ce n’est pas volontaire de sa part).
Concernant, les personnes qui disent qu’il faut faire comme l’Irlande, je pense qu’un éclaircissement à ce sujet s’impose.
L’Irlande a été mal mené par les spéculateurs financiers, ceci dans le but de parier sur l’éffondrement de son économie: Le gouvernement Irlandais a multiplié les déclarations tapageuses pour obliger l’union européenne à lui venir en aide.
Aujourd’hui il le regrette un peu, parce que les nouveaux emprunts qui lui ont été accordés sont les plus chères du marché en taux d’inéterêts, ce que négocie l’éspagne te le portugal en ce moment même, mais jamais l’Irlande ou un autre pays ose ou osera dire qu’il ne va pas payer sa dette !!!! foutaise!!!
Si on Tunisie, on déclare qu’on ne veux pas payer notre dette : alors : le premier jour on va rigoler à notre blague,
Le deuxième jour on votera un résolution à l’ONU.
Le troisième jour , on bouffera tous du sable au désert sous les bombardements américains, français, allemnands, japonais, arabe etc…..
Alors chers amis arrétez de dire des bêtises, un petit pays comme la Tunisie ne pourra pas vivre en autarcie envers et contre tous.
On a ni la capacité, ni l’envie, et un minimum de bon sens vosu amènera à la conclusion que vu notre situation et vu nos ressources, avoir des dettes : c’est normal, avoir des dettes excessives : ce n’est pas normal.
C’est l’économie et surtout sa bonne gouvernance qui financera les projets de l’état.
Ce n’est pas normal de contracter des crédits pour payer les fonctionnaires.
Il faut déployer l’épargne et la participation sociale dans les projets productifs, ainsi que la dette exterieure.
Les ressources propres de l’état (impôts et taxes) sont les seuls qui financerons les projets non productifs de l’état.
Les intêrets de la dette seront épongés et remboursés par ceux qui l’ont injustement provoqués comme je l’ai démontré plus haut : nos créanciers qui seront acculés de devenir des investisseurs.
Puisque tout le monde veut que ça soit un grand casino, alors qu’il le soit et on change les règles de jeu un peu plus honnete :
d’abord on vous rembourse votre argent : donc on rembourse le principal.
pour les intérêts : si vous voulez les récupérer, alors il faut jouer encore, et à vous d’assumer complètement les aléas des résultats. On vous dresse une liste de secteur productifs ( Lignes de chemin de fer, autoroutes, port maritime, centrale éléctrique) et a vous de choisir..
Je donne comme exemple : l’espagne a pu développer ses chemins de fer en attribuant des concessions de 80 ans aux investisseurs, des épargnants du monde entier ont achété ces emprunts obligataires sur 80 ans.
Le deuxième avantage de transformer les intérêts de la dette : c’est à la fois alléger le budget de l’état et donner un coup de pouce à la croissance, croissance qui sera largement favorable à l’attrait de nouveaux investisseurs.
Je me rappèle qu’en 2000, la Tunsie a reçu un très grand investisseur japonais (Il a été reçu par tous les grand ministres du gouvernement et par ZABA si mes souvenirs son bons)
Le monsieur a proposé de prendre en charge la construction de l’autoroute SFAX-RAS JEDIR en concession de 50 ans.
Il a estimé que ça sera rentable entre 3 et 4 %. Le gouvernement Tunsien a refusé l’offre et a préféré de lever 1200 M de $ sur la Bourse de Tokyo en 3 fois pour financer le projet de l’autouroute SAFX GABES, et permettre aux corrompus de se servir au passage et attribuer les chantiers aux entreprises proches de BEN ALI et TRABELSI.
Donc je dis et je redis, la bonne gouvernance est un pré-requis pour une amélioration de notre situation.
“Je donne un exemple: Aujourd’hui et d’après l’analyse donné par l’auteur de l’article : Un créancier qui détient 100 M de $ de dette sur la Tunisie, seul 31 M de $ représentent le principal, les 69 autres M de $ représentent des intérêts”
Dans l’article le service de la dette présente 60% du Principal. donc sur 100 t’as 62.5 de Principal et de 37.5 de service !!!
Attention aux Calculs !!!
@mémoire vive
“Si on Tunisie, on déclare qu’on ne veux pas payer notre dette : alors : le premier jour on va rigoler à notre blague,
Le deuxième jour on votera un résolution à l’ONU.
Le troisième jour , on bouffera tous du sable au désert sous les bombardements américains, français, allemnands, japonais, arabe etc…..”
Un petit cours dans l’histoire s’impose:
http://fortune.fdesouche.com/14308-les-annulations-de-dette-et-suspensions-de-paiement-dans-le-passe
Etats Unis l’on fait, l’URSS aussi, le Mexique et d’autres pays latins, la Turquie, le costa rica, la pologne, l’allemagne, la namibie, le mozambique, le pérou, le burkina, l’argentine pour ne pas tous les citer
Merci Mikey,
Il y en a marre de voir extrapoler les propos. Le but de toute cette sensibilisation à la dette n’est pas d’annuler le remboursement de toute la dette ! Le but est de mettre en place un audit pour pouvoir analyser ce qu’a fait ZABA de cette dette, a t-elle servie au peuple ? Voilà la question à laquelle il faut répondre. Je vous renvoie à la notion de dette odieuse:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dette_odieuse
Une fois l’audit effectué, nous pourrons savoir quelle partie a servi le régime et non le peuple (par exemple achat de matériel de surveillance, d’armes pour réprimer le peuple, corruption, etc.). Cette part ne doit pas être payée par le peuple. Aujourd’hui, le poids de la dette dans le budget de l’etat est tel qu’il ne permet pas de mettre en avant d’autres priorités. Il faut se débarrasser des restes légués par Ben Ali. Est-ce une demande excessive ? Illégitime ? Plusieurs députés européens ont signé une pétition dans ce sens:
http://blogs.mediapart.fr/edition/revolutions-dans-le-monde-arabe/article/040411/plus-de-50-deputes-europeens-soutiennent
Bravo
@ mhammami,
les calculs dans l’article sont bons. Ce sont bien les intérêts qui représentent 60% du principal, veuillez réviser vos propre calculs avant de faire de tels déclarations
cordialement
mehdi khodjet el khil
@memoire_vive
“Donc je dis et je redis, la bonne gouvernance est un pré-requis pour une amélioration de notre situation.”
OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI
Pour le reste, il faut trier mais il y a du bon.
Bonjour,
Je trouve que cette analyse est très biaisée et peut être classé dans une optique de manipulation !!!
La dette ne peut en aucun cas être regardée en sa valeur faciale, car on oublie par ce faite la création de richesse apportée par cette dette. c’est ce que nous appelons l’effet de levier.
Pour les néophytes, on peut simplifier par l’exemple suivant :
t’as 100 dt (ton PIB) et tu veux les investir dans le but de créer de la valeur. On suppose que tu peux t’endetter à un taux de 5%/an et que ton investissement te rapporte 10%/an. l’horizon d’investissement étant de deux ans.
Option 1 : sans dette : ton investissement te rapporte 10 dinars la première année. tu les réinvestit (donc t’investit 110dt) t’obtient finalement 121 dinars donc ton gain est de 21%. ton taux d’endettement est de 0%
Option 2 : avec dette : tu t’endettes 50% de ton PIB (capital) soit 50 dt. tu dois rembourser par an : 2.5 dt et payer à la fin 50dt. Tu investit 150 dt (capital + dette), a la fin de la 1ère année ton investissement devient 165dt, tu paie le service de la dette (2.5dt) et tu réinvestit le reste (162.5dt). A la fin de la 2ème année : ton investissement te rapporte 178.750 dt, tu paie 52.5 dt (service de la dette+dette) , il te reste 126.250 donc ton gain est de 26,5% (supérieur à 21% sans dette)
donc avec un endettement de 50% du PIB on a créer plus de richesse.
Je vais rédiger un article bcp plus détaillé pour répondre à cet Article. Il sera intitulé : La dette extérieure maîtrisée : Un levier de développent Important !!
Et si les taux explosent qu’est ce qu’on fait?C’est l’effet de levier 6 pieds sous terre?
les taux d’intérêts pour les prêts d’états (dette souveraine) sont determinés par rapport à sa signature (rating). Les taux eplose lorsque le pays devient à risque (risque de ne pas honorer sa dette). C’est pourquoi il faut travailler et travailler pour avoir une économie solide et une signature acceptable.
La tunisie est capable d’avoir une signature A
@ mhammami
La Tunisie a également signé à des taux variables,
confer le tableau “Evolution de la Structure de l’Encours de la Dette Extérieure” sur le site de la BCT, ici: http://www.bct.gov.tn/bct/siteprod/francais/indicateurs/dette.jsp
à Moyen & Long Termes par Tranche de Taux d’Intérêt
Les taux variables font également exploser la part des intérêts dans le “stock” de la dette
cordialement
Mehdi khodjet el khil
Allez donné votre cours de comptabilité ailleurs, on sait très bien comment ca fonctionne en tunisie
Merci mhammami de nous éduquer,
En gros, vous nous expliquez l’effet de levier de l’endettement qui permet d’élever le retour sur investissement ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_de_levier
Vous devriez donc connaitre les risques encourus par cet effet de levier ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_de_levier_invers%C3%A9
De plus, vous vous placez du point de vue de l’investisseur voulant maximaliser son rendement. c’est une technique qui permet de mettre la pression au dirigeant de l’entreprise, ce qu’on appelle management par le stress afin de rembourser les charges financières. Mais, dès que ça craque, pof c’est la merde, boite ferme et l’investisseur s’en va vers d’autres cieux. ce que vous prônez, est un système plus rentable donc plus risqué donc plus instable. De plus, l’investisseur qui demande des rendements élevés sait qu’il s’accapare le bénéfice au détriment d’un réinvestissement ou d’une augmentation des salaires. partout où ce système d’effet de levier, de LBO, ect. a été mis en place, les inégalités se sont creusées. C’est de cela dont vous allez nous parler dans votre futur article ? Eh bien, nous l’attendons avec impatience alors !
@ mhammami,
vous dites :”La dette ne peut en aucun cas être regardée en sa valeur faciale”
Depuis quand regarder les choses en face produit un biais dans l’analyse? Dans ce cas, exprimer la dette en % de PIB n’est-il pas un biais qui conduit à la manipulation lorsqu’il s’agit de qualifier l’évolution du recours à l’endettement?
cordialement
Mehdi khodjet el khil
@ mhammami : A vous je demande de faire attention : voila ce qui est dit exactement dans l’article :
“pour l’année 2009, que les créanciers réclament à la Tunisie 28 426,7MTND de dette dont 8 802,7 MTND (30,97% du stock de la dette) pour le capital et 19 623,9 MTND (69.03% du stock de la dette) pour les intérêts. ”
C’est écrit en français quand même !!!
30,97 % pour le capital ou le principal
et 69,03 % pour les intérets
Que lors de ma reprise j’ai simplement arrondi respectivement à 31% et 69%.
Maintenant à vous chèr monsieur, vous accusez cet article d’être biaisé (bien je partage votre avis) mais je vous trouve aussi suspicieux autant que l’auteur de l’article en argumentant en disant que la dette exterieure est bénéfique.
Tous le monde est beau , tout le monde est heureux lorsque vous dites en emprunte à un taux de 5% pour faire des bénéfices à 10%.
Mais qu’est ce que vous dites de faire des emprunts à 10% pour faire des bénefices de 1% ou 2% ( exemple autoroute SFAX GABES) ou faire faillite après ???().
Je partage totalement votre avis, Mr mémoire vive!Tout cela est bien joli quand on vit dans le meilleur des mondes, ce qui est loin d’être le cas.Les primes de risques sont condamnées à monter en flèche, au niveau mondial!
Je crois qu’il y a un problème de maitrise de la langue française !!!
Vous aussi, Maitrise c’est avec un chapeau, hihihi :)>
Monsieur, il suffit de regarder le graph (qui est plus objectif que les commentaires biaisés de l’auteur” ou le taux de service de la dette représente 60% du Principal.
Concernant les chiffres de 5 et 10 % : ce n’était qu’un exemple simple pour faire comprendre l’idée aux autres (non spécialiste du domaine). Cependant tout investissement est soumis à un risque (volatilité du Rendement espéré) et il peut bien apporter 1 ou 2% ou même un rendement négatif. L’essentiel c’est que l’agrégation de ces rendements (d’un point de vue Macroéconomique) soit supérieure au taux d’intérêts pour que l’effet de levier soit bénéfique.
Si la Tunisie elle a su se développer, c’est que macro-économiquement le rendements des projets était bien supérieur aux taux d’intérêts. Après On peut discuter comment cette création de richesse à été redistribué (je pense essentiellement au clan Trabelsi ;-))
@ mhammami,
Avec tout le respect que je vous dois, vous faite erreur.
Le service de la dette est égale au principal + les intérêts.
Donc le service de la dette ne peut pas être inférieur au principal.
Vous dites :”le taux de service de la dette représente 60% du Principal”, c’est faux!
Ce sont bien les intérêts qui représentent environ 60% du principal.
De plus je n’ai jamais parlé de “taux” de service de la dette.
cordialement
Mehdi khodjet el khil
Et vlan !!!
@ANIS tiens je te prete 100 000 DT sur 15 ans avec un taux de 3.89 % l an on est d accord! tu peux changer de voiture ,finir ta maison, investir dans ….., mais tu me rembourses stp avec mensualite de ….. jusqu ici “moula ettag yehtaj” Maintenant la tunisie a besoin de 3 MLD de $ toctoc toc FMI ou BM ou nos amis argentiers : ils seront content de venir nous aider : combien vs avez dit 3 pas de probleme!!! REvenons au pret de 100 000 dt oui pas de souci je te pretes volontier tiens meme je veux t arranger sur le taux je te fais 3.47 et la discussion commence et je veux t aider tu peux investir et tu ne sera plus dans le besoin Par ou on va commencer : t es mal loge tiens je te vends une maison comme ca tu sera bien avec ta famille (30 000 DT avec un rabais de 10% sur le prix de marche “yarhim weldeek”)Les meubles t inquites :cuisine dernier cris salon “milli nweddek” des chambres pour les enfants aussi 15000dt) pourquoi tu n ouvre pas un magasin tu mets le petit dedans (je te trouverais un franchiseur cool et en plus il va former ton bout de chou 17500 dt)et pour finir je connais qqu un dans l import export : ta besoin d une grande caisse pour ta famille!!!!…; Pour preter pas de souci laisse moi gagner d abord sinon la saisie est en route on ne prete qu aux riche!!!!! figure toi avec les grands argentiers de ce monde ca se passe de la sorte!! ils nous pretent pas mais ils nous font acheter leurs produit finis eux ils font tourner leurs machines et nous consommons de plus a titre d exemple ils nous aident dans l agriculture : faites des tomates notre marche (en occident) en a besoin vous allez faire rentrer des $ meme coseil a un autre pays (la semence c est eux les produits aussi )oh la la surproduction cette annee encore : les prix baissent! et nos agriclteurs affames!!!..on balance tout ou on donne ca aux ….;mais on continue a payer l investissement dans l agriculture a coup de $…les experts reviennent : on va faire autre chose la tomate ca va pas et ainsi de suite en arabe on appelle ca ” KHALBA” arnaque “sirka bith khama”
L’Arnaque des Banques
http://www.dailymotion.com/video/xc4cdp_1-3-l-arnaque-des-banques_news#from=embed
http://www.dailymotion.com/video/xc4cqb_2-3-l-arnaque-des-banques_news
http://www.dailymotion.com/video/xc4d0u_3-3-l-arnaque-des-banques_news
Il n’ya pas de velonté politique pour assainir les comptes de l’état depuis Hedi Nouira il n’ya pas eu aucune personnalité semblable spécialiste en économie,apres la génération bourguiba et au jours d’aujourd’hui il n’ya pas de vrai économiste ils ne savent que tchatcher ils n’ont aucune expérience peut être des diplômes mais sans aucune expérience ni compétence ce qu’il faut un autre hedi Nouira si non la merde est garantie est encore pour longtemps vous aurez des demi mesures qui mène nul part.
Maintenant notre economie aura besoin des fonds oui mais c est une politique economique independante qui sera l element clef , c est notre vision de la tunisie de demain qui nous guidera et nous orientera vers tel ou tel choix!!!((Beja et Bouzid ont toujours fait manger la tunisie……)une politique industrielle dirigee vers nos interrets (la sous traitance;nos matieres premieres bruts exportees …….)une politique touristique “dirigee” par des “nationaux” et non lle tours operateurs euro…..)
pourqoui EX YOUGOSLAVIE a reussi de n’a pas obliger de payer leur dettes ?
si le Monde a gele’ les avoires du Ben Ali, aucune reaction du GOV.TUN…beaucoup de faiblesse, cache’ et cachau ,
beaucoup d’argent dans les coffres de ZABA, beaucoup de bijous ,voitures LUXE ou sont-ils ???
*et les bules du profet (avec chapeau) profite…
نحب نفهم شيء بركة ، مجلس حماية الثورة إشكون نصبو ، هل كان بالإنتخاب؟ هل هم ممثلي الشعب التونسي؟ شيء غريب والله ،الركوب على الثورة عيني عيينك، ما هي التضحيات الجسام التي قام بها البوعبدلي مثلا أو العياشي الهمامي من أجل الشعب أو من أجل الحرية ؟ من يمثل هؤلاء ؟ شيء عجييب و غريب ، هل من إجابة ؟؟؟
@astradmus
c-ALTAIEF
Est-ce que les emprunteurs sont responsables de la mauvaise gestion de vos dirigeants ??
La question est là: et même si la dette est odieuse, c’est à vous à ne pas tomber dans le panneau
Pour le but devrait être le suivant: plus tôt on sort de la dette odieuse, mieux ce sera.
Si on décide de ne pas rembourser cette dette, plus personne ne vous prêtera de l’argent: comment à ce moment allez vous construire une économie capable d’employer tout les chômeurs qui arrivent , de donner l’éducation, de créer des hôpitaux ? avec de l’eau de mer ???
Au FMI et à la Banque Mondiale, il y a des alternatives: en amérique latine (Brésil), ils ont créé une banque de développement régionale pour ne pas être sous la coupe des ces 2 institutions.
Soyez un minimum réalistes…
@salah tataouine
Chbini sidi teta ?
-> Je peux faire certains choix de développement et pas d’autres
Je peux emprunter pour la maison, mais pas pour changer de voiture car celle que j’ai me va très bien, d’ailleurs je vais faire du vélo ce sera écologique :-)
Par ailleurs un appart me va très bien, pas besoin de piscine dans ma maison :-)
@bonjour ANIS c etait juste une facon et un exemple pour expliquer le mecanisme de la dette et pouvoir engager un debat pour trouver des solutions LE CONSTAT est la tous on est d accord sur le poid de la dette!!!TROUVONS ensemble des choix pour notre avenir a tous!!
Anis,
“Est-ce que les emprunteurs sont responsables de la mauvaise gestion de vos dirigeants ??”
très bonne question ! Si tu sais qu’un homme fou allié a été condamné pour meurtre à l’arme blanche et que tu lui donnes un couteau et le laisse sortir dans la rue, n’es-tu pas complice s’il récidive ?
Si les emprunteurs savaient que le régime de Ben Ali était répressif, anti-démocratique, appliquait la torture, la censure et j’en passe, et qu’ils lui prêtaient des sommes qui ont sûrement dû servir cette mise en place de régime répressif, ne sont-ils pas complices ? Quelle naïveté…
A l’échelle micro de l’individu, considérons un homme ayant combattu le régime de Ben Ali et ayant subi la torture avec des outils achetés par Ben Ali avec un emprunt. Cet homme doit-il aujourd’hui travailler pour rembourser le capital et les intérêts d’un emprunt qui l’a torturé ? N’est-ce pas là une pure humiliation ?
Concernant l’alternative, croire que seuls le FMI, la BM ou la BAD peuvent prêter de l’argent, c’est vivre avec des œillets. Vous parlez de l’initiative de la Banque du Sud en Amérique Latine, eh bien pourquoi ne pas faire la même chose avec les pays du Maghreb ?
Il faut apprendre des erreurs du passé pour être réaliste.
LA question qui reste pose C EST QUOI LE DEVELOPPEMENT : bon tout le monde en crise de usa a l europe (le tiers monde c est une habitude et un mode de vie) QUE fait les usa :ils ont un deficit enorme et un chomage (officiel ) dans les 9% Ils ont essaye de relancer l economie par + de consommation (la crise de 2008 a repondu) depuis ils tentent QE1 et 2 ( en gros la fed (d autres vont dire la planche a billet ou l imprimante)achete les obligations(les % baissent) en injectant des milliards de $ (600 + 300 je crois)font monter la bourse (+ de 10 ou 15 % sur wall street ),le pouvoir d achat des americains montent (une grande partie de la population va a la bourse ,pas comme les europeens:epargne (daftar iddikhar comme nous)) d une part, les banquiers se remettent sur l economie reelle cad des prets aux entreprises pour faire marcher la machine : entreprise= pret-investissement- creation d emploi- des chomeurs en moins des consommateurs en plus LA RELANCE avec un $ au plus bas (sans oublier l inflation) des produits competetives…..sur le papier c est joli mais la realite est autre :les memes recettes nous donnent souvent les memes resultats (les japonais ont essaye cette recette!!)QUAND A NOUS COMMENT RELANCER NOTRE ECONOMIE? est ce par la consommation ou d une autre maniere??,VOIR d abord nos capacites et nos besoins: LES GRANDS TRAVAUX peuvent etre une solution et en plus ca reste un besoin: DES ROUTES DES ROUTES ET DES ROUTES notre infrastructure est tres “mediocre”(en quittant la tunisie en 1977 je faisais nord sud en bus en une nuit ,en 2007 j ai refait le mme trajet (j esperais en qque h) en une nuit!!!) le ferroviere aussi ;des centaines de millier d appart ou de maison (crise de logement oblige), investir dans l agriculture (pret sans interret aux petits paysans mais aussi guaranti de l etat pour les produit ( la forme a voir), encourager la creation des PME (en accompanant les jeunes entrepreneurs : formation+financement); penser differemment notre tourisme (tourisme de voisinage (bon pouvoir d achat) tourisme interieur et la communaute tunisienne de l etranger…..LE DINAR aussi a proteger(devaluation quand tu nous tiens;;;) Reste nos “freres” riche(petro $) on a besoin de leur aide financiere ( don zakat pret sans interet) c est le peuple arabe qui decidera avec cet elan revolutionnaire ;;;;UN developpement sera fait en travaillent avec notre voisinage et dans notre sphere ou ne se fera pas
La récession économique aurait été mal évaluée par les experts? Serions nous en train de subir les conséquences aujourd’hui?
Quelques années plus tards, nous sommes en train de débattre sur les même sujets: comment relancer l’économie? comment réduire le taux de chomage? et les prix de la nourriture sachant qu’une hausse de 40% est à prévoir dans les années à venir? Quand à la dette économique, quels sont les solutions apportés par nos experts?
NIET PERESTROIKA
Du paradis à l’enfer
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=24264
Vue de l’extérieur, l’Islande, qui figurait au premier rang pour l’indice de développement humain du PNUD en 2007, loin devant des pays d’orthodoxie néolibérale comme les États-Unis, la France ou le Royaume-Uni, semblait être un petit paradis. Avec une espérance de vie parmi les plus élevées au monde, un chômage quasi inexistant, les conditions de vie difficiles des populations du tiers-monde paraissaient bien loin pour les 320 000 Islandais. Pourtant, la dette publique du pays était montée en flèche à partir de 2003, date de l’achèvement de la privatisation des banques. Sur le graphique 4-1, la courbe haute indique l’évolution de la dette extérieure totale tandis que la courbe basse ne concerne que la dette extérieure à long terme. Au cours des dernières années, il est clair que le recours à des emprunts à court terme s’est multiplié.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=cpK2M7yFsoY#at=23
Tu n’es pas khodjet el khil. Tu es khodjet el bhaiem (anes). Tu dois aller apprendre l’economie avant d’ecrire de tels articles pleins de betises.
La dette est en devises- en stock et en service. Si tu la convertis en dinars tu oublies que le dinar a connu une devaluation catastrophique sous Ben Ali. Ce qui explique tes courbes savantes. Le budget ne fait que mentionner la contrepartie en dinars du service de la dette. Le pays doit avoir la capacite de generer par les exportations de biens et services les devises necessaires au service de cette dette dont la contrepartie est inscrite au budget.
Compris? vas a la fac si elle t’accepte.
Bon déjà, un commentaire qui commence par un argumentum ad hominem en dit long sur le but recherché. je t’invite à visiter cette page:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Argumentum_ad_hominem
Soit. Sophiste de la première heure, tu dis:
“Si tu la convertis en dinars tu oublies que le dinar a connu une devaluation catastrophique sous Ben Ali. Ce qui explique tes courbes savantes. ”
Peux-tu être plus précise dans ton argumentaire, quelle courbe rejettes-tu ?
De plus tes arguments sont ceux utilisés par les BM, FMI, elles ne renseignent que sur la capacité du pays à rembourser la dette et non l’utilité qu’a apporté l’endettement pour le bien social. Tu utilises les outils des créanciers appris bien docilement à la fac et ensuite tu viens insulter toute personne ne voulant pas se soumettre à cette vision.
@ hella,
Sans avoir fait des études d’économie ou de finance, je peut affirmer que tu te trompe. Selon la BM elle meme:
Total debt service is the sum of principal repayments and interest actually paid in foreign currency, goods, or services on long-term debt, interest paid on short-term debt, and repayments (repurchases and charges) to the IMF. Data are in current U.S. dollars.
tu dis: ” La dette est en devises- en stock et en service.” Je me demande si tu comprends bien ce que tu écris. cette phrase veut dire que le stock et le service de la dette sont payables en devises.
Désolé de te contredire mais les données de la Banque mondiale sont clairs:
Debt service on external debt, total (TDS, current US$) = Principal repayments on external debt, long-term (AMT, current US$)+ Interest payments on external debt, total (INT, current US$)
La conversion du dinars ne change rien
donc avant de traiter les gens de bhaeim (soit petit âne) tu ferais mieux de vérifier tes propres cours d’économie et ce que tu as appris à l’école.
Mehdi khodjet el khil
Tu ne comprends meme pas ce que tu cites de la Banque mondiale: “paid in foreign currency”. Est ce que tu comprends ce que cela veut dire? Sinon vas y apprendre l’anglais.
Si tu n’as pas etudie l’economie ou la finance ni l’anglais, pourquoi tu ecris sur des choses que tu ne comprends meme pas. Tu n’es qu’un imposteur!
Je vais te citer explicitement le lien mis plus haut sur l’argumentum ad hominem utilisé par les sophistes:
“Typiquement un argument ad hominem est construit comme suit :
1. A affirme la proposition B.
2. Opposer que A n’est pas crédible quand il dit B.
3. Donc la proposition B est fausse.
”
:D Merci Madame !
Je persiste à dire qu’il faut sortir de ce système néolibéral à la con!
Bonjour,
Les jeunes tunisiens peuvent reconstruire leur pays uniquement en empêchant que les vieux principes économiques reprennent le dessus. Malheureusement, certains se réfèrent à Marx ou Trotsky, d’autres à Keynes ou Adam Smith, car dans la pensée courante, communisme et libéralisme semblent les seules voies.
Elles sont toutes les deux dans l’erreur car elles utilisent des monnaies d’un autre temps, permettant par la spéculation tous les profits injustes.
En voyant les superbes graphiques de cette page, je suis sidéré de voir comment le sens de l’humain est réduit à des chiffres, et comment les économistes essaient de nous présenter ces chiffres comme autant d’étoiles sur un fond céleste. Pour eux , l’économie est une science et ils en sont les démiurges.
Il est une autre conception de la monnaie, dite de consommation, qui ne sert qu’à créer le lien entre les besoins exprimés par la population et leur production. Cette monnaie dont les surplus ou les pertes sont détruits en fin d’exercice, est créée par décision démocratique en quantité suffisante pour assurer la production des besoins et aussi pour payer son achat. Afin de pouvoir acheter, elle est distribuée à tous les citoyens, constituant la principale part de revenu, supprimant le chômage et la misère. Nous abordons là le thème du Revenu Garanti Universel, thème que vous retrouverez sur wikipédia et sur le site du BIEN (groupe de réflexion sur le revenu universel de la section économie sociale de l’Université de Louvain en Belgique. BIEN = Basic Income European Network).
En échange de ce revenu garanti universel, qui va de la naissnce à la mort et doit pouvoir assurer tous les besoins (nourriture, logement, éducation, loisirs…), il convient d’établir un Contrat Social.
Le Contrat Social : chacun, en fonction de son projet de vie, de ses capacités, etc. détermine comment il rembourse à la société la sécurité qui lui est assurée. Un tel peu vouloir travailler à mi-temps, mais plus longtemps, un autre peut vouloir accomplir sa carrière intensément pour travailler moins d’années. Un tel a un projet d’intérêt local ou personnel (être ouvrier dans une entreprise, être artisan ou entrepreneur…), un autre a l’ambition d’un projet d’intérêt régional ou national (monter un projet d’industrie). Chacun de ses projets sera défendu devant un jury paritaire librement constitué et dont l’importance dépend du projet. Exemple : un candidat boulanger fera réunir une commission locale composée de futurs clients, voisins, représentants de son quartier ou de sa ville. Le candidat industriel présentera son projet devant une commission de techniciens, ingénieurs, responsables politiques de plus haut vol.
Si le projet est accepté, les moyens pour le mettre en oeuvre sont prêtés par la collectivité, l’Etat… Ils ne sont pas achetés avec des emprunts bancaires. Autrement dit, au lieu de présenter son projet devant un jury de banquiers intéressés par le profit, on le présente devant ses pairs.
En cas de faillite du projet, il n’y a pas de gâchis, car les outils et moyens mobiliers comme immobiliers sont rendus à la collectivité pour être redistribués à d’autres projets.
Il n’y a pas de limite car il n’y a pas de limite à la quantité d’argent disponible, celui-ci n’ayant qu’un rôle de symbole de potentiel économique, valeur que la monnaie aurait dû garder si elle n’avaient pas été détournée par les banquiers. Une monnaie n’a qu’un seul rôle : permettre un échange plus complexe et décalé dans le temps qu’un simple troc à deux personnes.
Les Systèmes d’Echanges Locaux ont montré qu’on pouvait échanger des objets, des services sans monnaie réelle. chaque association de SEL inventant sa monnaie.
La base d’une nouvelle société est bien moins compliquée qu’on veut nous le faire croire, à droite comme à gauche. Elle se résume en trois points : Une monnaie de consommation non échangeables avec les monnaies du commerce capitaliste, un Revenu Garanti Universel, un Contrat Civique.
Bien sûr, pour acheter des matières premières utiles, on peut avoir besoin de commercer avec d’autres pays. Pour la Tunisie, le tourisme permet de faire rentrer des devises. Mais le tourisme ne doit pas être la principale activité, car les touristes ne se mangent pas, enfin jusqu’à aujourd’hui. Tout comme les banquiers ne mangent pas des dollars au petit déjeuner. Tout miser sur le tourisme, comme d’autres misent sur l’huile de palme, c’est obéir aux diktats des pays riches (où passer ses vacances, quelle essence bio mettre dans ma bagnole). Le tourisme doit reste une activité de complément, et donc il n’est pas urgent de le rétablir. Encore que les profits qu’il génère pourraient servir à acheter tout de suite à l’étranger les équipements qui manquent.
L’urgence est dans la réforme de la monnaie, l’instruction du peuple au sujet d’une économie sans argent spéculable. Car le malheur, c’est que tout le monde ignore qu’on peut faire tourner une économie sans cet argent de banquiers et de voleurs. (A propos, les dictateurs s’enfuient avec quelle monnaie, si ce n’est de l’or… ??
Les mouvements de référence développant cette autre théorie économique sont historiquement le créditisme, l’abondancisme, et actuellement encore et toujours l’Association pour l’Economie Distributive initiée après la crise de 1929 par Jacques Duboin. Tout peut se trouver sur wikipédia, mais aussi en tapant “La Grande Relève”, revue qui depuis 1930 n’a cessé de dénoncer le rôle vicié de l’argent. Sites de référence : economiedistributive.free.fr. Voyez aussi portail.eco.free.fr : dans la galerie vous trouverez beaucoup de mouvement de réflexion sur une autre économie.
La dette n’en est une que parce que les créanciers utilisent une monnaie qui rapporte des intérêts. Par ignorance de tous, entretenue par les pouvoirs politiques alliés aux financiers, nous croyons que c’est la seule monnaie possible. Faux. Une monnaie de consommation permet à un pays de s’autogérer en toute indépendance, et de plus sans fermer ses frontières comme le font les monnaies traditionnelles servant de devises.
Un peuple libre et indépendant, dans un état autogéré et ouvert au monde, c’est possible. Il suffit de remettre l’argent à sa place de pur symbole sans valeur intrinsèque. Aujourd’hui c’est devenu possible grâce aux moyens informatiques, car autrefois, la monnaie coûtait cher à fabriquer. Et s’il y a fraude, ce n’est plus très grave, car cette monnaie n’a cours que pendant la durée d’un budget auquel elle est affectée. (voir aussi “monnaie affectée” sur wiki).
La dette ? Quelle dette ? Ce n’est qu’un mot utilisé dans le cadre d’un rapport de force injuste !
Une solution radicale. Faites en sorte de rentrer dans la communauté européenne.Votre candidature serait certainement auusi valable, économiquement parlant, que celles des derniers pays qui ont rejoint l’union. Utopie? Je suis prét à vous prouver le contraire. Dix millions de tunisiens en + dans la communauté ne changerait pas grand chose comparés aux 450 millions actuels.Evidemment il faudrait un consensius national et une réelle volonté politique et …philosophique. Serge V. de L.
Bonsoir Mehdi,
j’ai médiatisé le probléme on passe à la chine nationale ce dimanche !depuis 20 ans les gens parlent sans jamais être entedu !!!bref on va y arriver finalement.TOUNSSIA HOURRA!